“Il prenait 10 000 balles par semaine et aujourd’hui, il crache dans la soupe en disant que nous étions stupides et machos!” Tout cela pour essayer d’entrer dans le camp du bien! »: Thierry Ardisson a été plutôt réassemblé contre Laurent Baffie et l’a fait connaître en La Tribune dimanche Il y a le 4 mai il y a trois semaines, son ancien acolyte avait exprimé certains regrets. «Je pense que vous devez vous excuser lorsque vous faites des erreurs», a-t-il déclaré à Léa Salamé dans «Quelle époque!». “Il y a des choses qui me font honte”, a-t-il ajouté.
Mots que l’hôte n’a pas apprécié. «Je lui ai écrit:» Écoutez, vous êtes gentil, con et macho, vous parlez pour vous. Moi, je ne suis ni chatte ni macho ». Baffie a répondu:« J’ai mal joué sur celui-ci. Je m’excuse ». Ce qui l’a le plus ennuyé,« c’est quand il a dit: »Avec Ardisson, nous avions des proies faibles». Tout d’abord, je n’ai jamais utilisé cette expression, puis cela supposerait que nous étions comme des violeurs attendant le jogger au coin du bois ». Ce qu’il nie évidemment.
«Nous avons interviewé les gens là-bas, il y avait à interviewer: quand c’était Bret Easton Ellis, c’était Bret Easton Ellis, quand c’était Mélanie Thierry, c’était Mélanie Thierry». Et pour ajouter: «Il ne suffit pas d’être offensé pour avoir raison! Nous vivons dans une entreprise offensée. Tout le monde est offensé (…) Ils me blâment pour des interviews 25 ans plus tard. Quel sens doit-il regarder le Moyen Âge avec les lunettes du monde aujourd’hui?», Protesta-t-il.
Si les remarques de son ami pouvaient le blesser, il prétend avoir du «cuir épais» et «j’ai pris cher parce que je n’étais pas dans la moisissure. Je n’ai jamais essayé de recevoir de petits suspects par les droits de soi». Il croit qu’il est «libre» et bien dans sa vie, puis «plus de raisons de dire ce que je pense. Je les ai à moi!», A conclu celui qui a partagé sa vie avec la journaliste Audrey Crespo-mara depuis plus de dix ans.