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“Nous ne laisserons rien partir”, a averti le patron des socialistes Olivier Faure, confronté à la «violence des fanatiques qui ne sert aucune cause» et qui a attaqué le sien.
Les socialistes n’étaient évidemment pas les bienvenus dans la démonstration traditionnelle du 1er mai dans la capitale. Le stand parisien du PS a été saccagé ce jeudi après-midi, par une cinquantaine d’individus à capuche que les militants présents ont identifié comme des «blocs noirs». “Nous étions entourés puis chargés par les blocs noirs”raconte à un membre du PS, qui rapporte “Trois camarades” blessés.
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“Ils ont arraché nos drapeaux et nos bannières, ont donné des coups de pied, des coups de poing, lancé des pétards. Un camarade a été traîné et lynché au sol, un autre élu a été blessé”a confirmé le MEP socialiste Chloé Ridel sur son compte X. Slogans comme «Sionists», «Complices de génocide» ou “Tout le monde déteste le PS” ont été notamment lancés contre eux, avant l’intervention policière.
Le patron des socialistes, Olivier Faure, a annoncé que «Dépôts de plaintes» étaient en cours, après avoir appelé le “Témoins” et «Victimes» depuis“Assaut de blocs noirs”. «Nous ne laisserons rien. Nous n’accepterons jamais la violence des fanatiques qui ne servirons aucune cause et ne détruiserons pas les combats collectifs»Il a mis en garde contre les réseaux sociaux.
L’écologiste Marine Tondelier et le communiste Fabien Roussel ont apporté leur soutien aux réseaux sociaux aux élus attaqués, tandis que le rebelle Manuel Bompard, sans assurer une ferme condamnation de la violence ou un message de soutien, a déclaré qu’il était “Ne pas être d’accord avec le fait que les désaccords politiques sont résolus comme ça. “
Deux manifestations et deux exfiltrations en quatre jours
Parmi les élus maltraités, Jérôme Guedj s’est également retrouvé entouré d’autres participants d’un groupe de personnes vêtues de noir. Sous les huées, le député socialiste d’Essonne a été contraint de s’éloigner du chef de la procession. “Vendu”, “traître”, ou “assassin” Avait-il l’emporté pendant qu’il montait la rue. «Nous ne quittons jamais la démonstration du 1er mai parce qu’il y a des ennemis des travailleurs qui sont là»Il a réagi devant les caméras.
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Quatre jours plus tôt, le fonctionnaire élu Ile -de -france avait déjà été exfiltré du rallye «contre l’islamophobie» à Paris, organisé en réaction au meurtre d’Aboubakar dans une mosquée dans le gard. Insulté et violemment pris à la partie, il avait préféré quitter la manifestation, où il y avait plusieurs personnalités rebelles dont Jean-Luc Mélenchon et le député député Rima Hassan.