L’affaire avait fait un grand éclaboussures, autour d’une mort tragique depuis longtemps passa en silence. Le 29 juin 2022 à Nice, le corps momifié d’un homme a été exhumé d’un «Sarcophage concret»Comme le procureur, Xavier Bonhomme, s’était qualifié. La victime avait disparu cinq mois plus tôt, tuée dans un bar par son manager. Ces années cinquante seront jugées du 5 au 9 mai pour meurtre, avec un co-accusé, par la Cour d’assise des Alpes-Maritimes. Il nie avoir voulu tuer.
Si cette nouvelle a tellement causé à l’encre, c’est surtout pour son mode de fonctionnement autopsie. Le cadavre avait été coulé dans du ciment et grossièrement caché, dans une cave, à l’arrière de l’atrium. Ce Bar-PMU situé à la 66 rue de France, dans un bloc de bâtiments de la promenade des Anglais, était très fréquenté par la communauté de Kabyle. Origines communes aux deux accusés et à la victime.
M’Hand G. a 34 ans lorsqu’il disparaît, dans la nuit du 6 au 7 février, 2022. Il a vu séparé la mère de son fils, travaille comme technicien en fibre optique. “Une vie classique bien rangée”Dixit moi Juliette Pappo, l’avocate de sa famille. Mais l’Algérien 30-YEAR -old fréquente l’atrium. Et les relations avec son manager empirent.
Un boxeur à ses côtés
Abdelkrim Kacimi, 59 ans maintenant, a notamment travaillé dans l’industrie de la construction, avant d’acquérir l’atrium en 2019. Selon lui, M’Hand a assisté à son bar depuis juin 2021.qui l’a ensuite défendu. «Ce client menacé de façon permanente. Il lui a demandé de l’argent. Il avait PRInsultant, OPO négatifs. Il a conseillé à d’autres clients de payer, a déclaré que ce restaurant allait lui appartenir. “
Comportement toxique qui provoque une explosion de violence? «Aucun élément du fichier ne dit que, les objets Pappo. En dehors des méfaits de l’alcoolOl, rien n’explique comment ilsarrivé là-bas. CesL’une des questions du procès. Sa famille aimerait que la justice lui soit retournée. “
Le soir du drame, Abdelkrim Kacimi et M’Hand G. auraient «chauffé» au téléphone. M’Hand G. vient expliquer. Le directeur demande à un autre client de rester à ses côtés. Cet 30 ans impose. Catégorie de camion-boxeur, il a évolué au niveau supérieur. Il admettra qu’il avait apporté des «gifles» à M’Hand G. pour calmer son ardeur. Mais ce n’était pas lui quiOrtée les moronstel.
Ivre de rage
Après un échange de coups, «le boxeur» et moi g. g. nettoiera leur visage sanglant dans les toilettes. Abdelkrim Kacimi serait alors arrivé, ivre de rage. Selon «The Boxer», il aurait apporté plusieurs coups de feu à Mand G., il a écrasé sa gorge avec son pied et aurait introduit un pistolet dans sa bouche, jetant: «Vous méritez un chien sale, je vous tue!
Peu de temps après, un grand soupir les atteindra deS toilettes. Le dernier de M’Hand G.
Abdelkrim Kacimi a livré des versions fluctuantes. Le procès permettra «de se rapprocher de la vérité», selon moi Lionel Ferlaud, qui assurera sa défense. Si des coups ont été transportés, «nous ne savons pas qui, quand, comment. C’est un bon gars. Bien sûr, il y avait ce péte de plomb ce soir-là… mais c’est complètement traumatisé d’avoir tué quelqu’un».
“Au mauvais endroit”
Abdelkrim Kacimi apparaîtra dans la boîte. «Le boxeur», défendu par mon Franck et Alexandre de Vita, a été placé sous surveillance judiciaire après quatre mois de détention. Lui aussi avait été inculpé pour meurtre. «Mais sa responsabilité pénale concernant le meurtre a été très rapidement rejetée, Souligne Alexandre de Vita. Mon client était au mauvais endroit, au mauvais moment. Il a fait une erreur de jugement. “
«Le boxeur» répondra finalement à la non-assistance à quiconque en danger et en modification des scène du crime. Les deux accusés ont exprimé des regrets profonds. Surtout à ce sujet “Très mauvais choix” un sarcophage en béton et un mur de silence.
Ils auront la famille dévastée de M’Hand G. «Elle l’a cherché pendant cinq moisCela me rappelle Pappo. Il est assez sordide de savoir qu’ils ont continué à faire la fête au bar, tandis que la victime était dans un sarcophage, enterré dans la cave ».