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Bayrou défend le terme «islamophobie» -.

Bayrou défend le terme «islamophobie» -.
Bayrou défend le terme «islamophobie» -.

Vous devez avoir le courage de dire des choses telles qu’elles sont«A déclaré le Premier ministre dans une interview publiée samedi soir sur le site Web du Sunday Journal (JDD).

Refuser un mot parce que nous ne voulons pas avoir l’air face à face est une attitude que j’ai déjà rencontrée dans ma vie politique. Ici, les faits sont clairs: un garçon de 22 ans, assassiné dans une mosquée pendant qu’il priait. Et son agresseur filme sa mort en prononçant des insultes contre Allah. Je pose donc la question: si elle n’est pas dirigée contre l’islam, qu’est-ce que c’est? Pourquoi refuser les bons mots?«Il ajoute.

Je vois la détestation des musulmans et de l’islam, la détestation des Juifs et du judaïsme. Et la détestation des chrétiens. Avec des crimes dans les trois cas«Il a dit à nouveau.

Ce terme n’est pratiquement pas utilisé à droite, ce qui le conteste.

Il y a une connotation idéologique du terme «islamophobie» très marquée en ce qui concerne les Frères musulmans, qui signifie que dans notre ministère, nous prenons la précaution de ne pas l’utiliser«, A expliqué le ministre de l’Intérieur et le futur patron potentiel du parti les Républicains Bruno Retailleau après le meurtre d’Aboubakar Cissé dans le Gard.

Une grande partie de la gauche l’a utilisé, mais ce n’était pas le cas il y a quelques années.

Certes, «islamophobe» est un mot que nous n’aimons pas. Certes, nous préférons combattre la «haine des musulmans». Mais la question posée aujourd’hui n’est pas du tout celle du droit ou de ne pas critiquer une religion“Writs Jean-Luc Ménlchnon en 2019.

À l’époque, la gauche diminuait sur la nécessité de participer ou non dans une promenade «contre l’islamophobie» organisée par le collectif contre l’islamophobie en France, s’est dissous depuis parce que l’accusé de liens avec les Frères musulmans.

Les insoumis utilisent maintenant ce mot très largement.

Que ceux qui essaient de noyer le sujet dans le contexte des acrobaties sémantiques se réveillent«, Distré le MEP de Rima Hassan.

En 2021, le député socialiste Jérôme Guedj a expliqué de contester ce terme qu’il considérait comme un «concept éminemment politique et pernicieux».

La bataille politique commence toujours par la bataille des mots. Ce mot leur permet d’inclure des lois laïques de manière subrepticement mais méthodique«Il a dit alors.

Son utilisation n’est toujours pas répandue partout sur la gauche. Le patron du Parti communiste français Fabien Roussel préfère ainsi le terme pour lui “anti-musulmans«.

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