Les incendies dans la forêt de Bouconne se trouvaient jusqu’à présent du passé. Les incendies au début du 20e siècle avaient détruit plusieurs centaines d’hectares de forêt entre les municipalités de Montaigut, Mondonville et Daux. Les causes de ces affirmations étaient principalement attribuables aux charbon, qui sont désormais disparus, et l’éco-trégmentation, maintenant interdite. Pour lutter contre ces affirmations, des mesures préventives ont été prises par le National Forest Office (ONF): développement de Pares-Fires, installation de terminaux d’incendie et creusement de la bordure comme réserve d’eau pour les pompiers. Aujourd’hui, ces mêmes services ONF doivent s’adapter aux conséquences du réchauffement climatique, qui ont provoqué des braziers forestiers majeurs en 2022 dans le sud de la France.
“Avec la présence de nombreux pins très inflammables, c’est maintenant la partie sud du massif de la forêt qui est notre principale préoccupation”, a déclaré Olivier Chaze, directeur de l’ONF de l’unité territoriale de Gascogne. «Dans le cadre de la défense des forêts contre les incendies (DFCI), nous avons installé 30 m³ d’eau à Léguevin et Pujaudran et avons installé des pompiers directs avec le pied de pompage au lac Bordette, afin de ne plus utiliser de l’eau potable pour la lutte contre les feux». Le montant de ce travail s’élève à 80 000 €, financé par l’ONF et l’EAFder (UE et région). “Les manœuvres de ces nouvelles installations devraient avoir lieu bientôt avec les services SDIS et DDT”, a déclaré Olivier Chaze. Avec un projet de réservoir dans le bois commun de la Jourdain d’île, il s’agit d’un réseau DFCI complet du massif de Bouconne qui devrait éventuellement être opérationnel.