Le procureur de Nîmes a tenu une conférence de presse ce vendredi, une semaine après le meurtre d’Aboubakar Cissé dans le Gard.
Elle a souligné un «désir obsessionnel de tuer une personne» du suspect.
C’est la raison pour laquelle les poursuites nationales anti-terroristes n’ont pas été saisies, même si elle reste informée des progrès de l’enquête.
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Meurtre dans une mosquée Gard
Le suspect dans le meurtre d’Aboubakar Cissé dans la mosquée Grande Combe dans le gard «Vous voulez tuer quelle que soit la cible». Le procureur de Nîmes, Cécile Gensac, a tenu une conférence de presse le vendredi 2 mai. Elle est revenue aux motivations du suspect qui n’a pas «Je n’ai pas été donné à la justice française».
Selon les premiers éléments de l’enquête, «Les ressorts pour agir de l’agresseur semblaient très rapidement être profondément personnels: je veux tuer, quelle que soit la cible et la fascination morbide», a dit le procureur qui a dit que les faits apparaissent à ce stade construits autour «D’un désir obsessionnel de tuer une personne».
57 coups de couteau
Selon les premières observations, le suspect aurait amené 57 couteaux à sa victime, qu’il semble avoir “Jamais croisé” précédemment. Le crime a été commis «Sans demande idéologique», Spécifie le procureur, ce qui explique ainsi pourquoi les poursuites nationales anti-terroristes (PNAT) n’ont pas compris l’affaire et que la qualification «terroriste» est, “À ce stade”non conservé. «Le ciblage dû à la race et à la religion n’est pas un critère suffisant de référence au PNAT», a déclaré Cécile Gensac, ajoutant que l’accusation est restée «Observation tout au long du cours judiciaire».
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Une réponse aux critiques récentes alors que dimanche, Mourad Battikh, l’un des avocats de la famille de la victime, avait dénoncé l’attente de l’attention du procureur (PNAT) face à cette affaire. Il a également considéré que ce meurtre était “Une attaque terroriste” ET «La communauté musulmane doit bénéficier du même traitement que tout autre citoyen».
En fuite pendant près de trois jours, le meurtrier d’Aboubakar Cissé, tué vendredi vers 9h30, dans la salle de prière de la mosquée de Khadidja, à La Grand-Combeoise, une petite ville de jardoise de moins de 5000 habitants au nord d’Acres, est allée dimanche soir en Italie, à la station de police de Pistoia, près de Florence, accompagnée par un Aunt et a un avocat.
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