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Après s’être rapproché de la mort lors d’un accident de tracteur, il a témoigné de sa gratitude à l’aide -.

LArs Rosdahl, directement sur son siège, soulève ses jambes et déplace le haut du corps. Assis dans un fauteuil ce mercredi 30 avril, il se prépare à quitter l’hôpital Périgueux (Dordogne) pour la création de soins médicaux pour Excideuil.

Avant son départ, l’élégant et dynamique de soixante ans qui a eu un grave accident de tracteur tenu, à travers son histoire, pour souligner que «toute la chaîne de sauvetage a travaillé avec l’exempularité». «J’ai une immense reconnaissance envers les services d’urgence, les pompiers et le système hospitalier. Lorsqu’il fonctionne, il faut dire:« insiste sur le périgordin adopté, qui se décrit comme un «survivant».

Le 8 avril, il a «échappé à la mort» avec des coulares. Ce propriétaire d’une truffe près de sa maison secondaire revient d’une matinée de travail sur son complot. Il est environ midi, son voisin l’invite à un apéritif. Lars Rosdahl y va en tant que tracteur, une machine qu’il a empruntée, son Tondo-Broyeur incapable d’être exploité sur son propre tracteur.

Le tracteur sans cerceaux se tourna vers Lars Rosdahl avec des coulares.
Le tracteur sans cerceaux se tourna vers Lars Rosdahl avec des coulares.

SDIS 24

Pour des raisons qu’il n’a pas complètement éclairci – un chemin étroit, une tondeuse trop lourde -, le tracteur sans cerceaux se renverse et écrase l’homme à 68 ans. Il pense qu’il va y rester. «J’ai entendu parler de ce genre d’accident. Il y avait un noir alors une foudre de lumière. Je vois ma petite-fille de 4 mois. C’est extraordinaire. Le cerveau dit qu’il s’arrêtera. Nous voyons la vie une dernière fois et c’est très beau.» »

Un tracteur «monstrueux»

Mais le temps de Lars Rosdahl n’est pas venu. Il peut accéder à son téléphone, appelle le voisin, puis le pompier d’Excideuil et le 18. La douleur devient insupportable. Sachant que c’est en vain, il essaie toujours de se sortir. Sa tête est prise dans les barreaux du Tondo-Broyeur.

Le «monstre» ne peut pas être déplacé. «Il est énorme. Je vois les roues larges comme ça, décrit-il, répandant les mains de plusieurs centimètres. C’est effrayant. Le médecin en chef arrive très rapidement, élabore une première évaluation, rassure les années 60 qui bougent ses pieds.

«J’avais trois médecins à mes côtés. Pour moi, c’était l’excellence, 20/20»

Les pompiers des centres de sauvetage environnants arrivent: Cubjac, Excideuil, Thiviers. Le médecin Smur aussi. Les premiers soins lui sont donnés, une perfusion lui est faite mais impossible de libérer le tracteur sans équipement lourd. Un pompier Cubjac «doux et rassurant» le fait parler de tout et rien. Les soldats de l’approche du feu de Périgueux avec les moyens nécessaires: «Je les évoque à aller plus vite», dit-il.

Bassin opéré

Aujourd’hui, il salue le groupe du groupe, «qui a pris des décisions qui ont sauvé [sa] La vie «. Je suis sauvé. «J’avais trois médecins à mes côtés. Pour moi, c’était l’excellence, 20/20», juge le retraité.

Anesthésié, il est transporté par hélicoptère à l’hôpital Périguux. Envoyé sans délai au scanner, il apprend qu’il souffre d’une fracture complexe à l’arrière du bassin et une autre à l’avant. Mais c’est un moindre mal. «J’ai été rassuré très rapidement et ma famille aussi. Il se déroule dans sa chambre qu’il a occupé pendant plusieurs semaines.« Je souffrais partout, mais j’étais heureux parce que j’étais en vie et cela a pris le relais sur le traumatisme. »»

Des moyens lourds ont été mobilisés lors de l'accident le 8 avril.
Des moyens lourds ont été mobilisés lors de l’accident le 8 avril.

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Opéré à Périgueux, il loue toujours la pédagogie et la compétence du docteur Fabien Baudelle. «Ce fut un traumatisme assez grave en écrasant le bassin, qui peut être vu dans ces situations ou de grands accidents sur la route publique», explique le spécialiste. Nous nous sommes stabilisés avec une vision sacroiliaque. Même le compliment des soixante ans-END vers l’anesthésiste «de qualité exceptionnelle». «Elle a répondu à toutes mes questions. Et Lars Rosdahl aurait beaucoup posé. Pendant son séjour au service d’orthopédie et de traumatologie, le personnel était« très gentil, très conciliant ».

Progresser tous les jours

«J’ai fait de petits progrès tous les jours. Le premier, je ne pouvais pas bouger et j’ai eu des tuyaux partout. Pendant quinze jours, je mentais. Mais lundi, je suis allé à la terrasse de l’hôpital pour la première fois. Mon cœur a battu très fort quand j’ai vu l’hélicoptère partir.» »»

Les soixante ans -old ont également suivi quelques séances de psychologie, en dehors de l’exécutif de l’hôpital: «Pour que les images ne me hantent pas. C’était très efficace.» »

Il prétend n’avoir aucune appréhension pour le fer par cette voie et appelle à se pardonner dans ce genre de situation. «Un accident est un accident.» »

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