The International Court of Justice (CIJ) will render its decision on the request of Sudan to the United Arab Emirates, for having violated the Convention on the Genocide Convention, by supporting the Masalit Group of the Masalit in Sudan, in particular in Western Darfur, and their rebellious militia of the FSR, accused of genocide,
Tant attendue, la délibération du tribunal se produit moins d’un mois après l’audience du 10 avril dans laquelle les deux parties ont exposé leurs arguments aux magistrats de cette Haute Cour de l’ONU, basés à La Haye (Pays-Bas).
Dans sa demande du 6 mars, le Soudan avait déposé une demande d’introduction aux Emirats pour «les lacunes à la Convention sur le génocide», l’accusant de «soutien» pour les groupes armés rebelles, y compris «FSR et milices associés à eux» à l’origine «actes de génocide, de meurtres, d’expropositions, de violences, de réflexions forcées, de biens publics et de violations des droits humains».
Dans sa demande, le Soudan affirme que «la perpétration (de tous ces actes) a été rendue possible par le soutien direct fourni par les Émirats arabes unis à la milice rebelle de la RSE et aux groupes qui y sont associés». La demande du Soudan concerne également «les actes adoptés, tolérés et pris par le gouvernement des Emirats par rapport au génocide contre le groupe masalit dans la République du Soudan depuis au moins 2023. Les actes et les omissions des Émirats dénoncés par le Soudan sont de nature génocidale, car ils visent à provoquer la destruction d’une partie substantielle du groupe masalit».
Pour le Soudan, «il est prouvé, par tous les types de preuves, que les rebelles RSF, avec le soutien illimité des Emirats, ont perpétré un génocide, des voyages forcés et des meurtres». Le Soudan prétend avoir présenté sa demande «afin d’établir la responsabilité des Emirats pour les violations de la Convention sur le génocide et de demander l’indication des mesures de protection pour assurer la protection urgente et la plus complète que possible de la population civile soudanaise qui continue de courir un risque grave et immédiat de poursuites et de nouveaux actes de génocide».
Khartoum accuse les Emirats d’avoir «violé leurs obligations en vertu de l’article 1 de la Convention sur le génocide, ainsi que d’autres obligations fondamentales en vertu de la Convention sur le génocide, en particulier en essayant de commettre un génocide; en complotant afin de commettre un génocide; en encourageant le génocide; complicité dans le génocide; et en éruption pour prévenir et punir le génocie.
Since at least 2023, a genocide has been taking place in the Republic of Sudan ”. While recalling that “the RSF and the militias which are allied to them commit a genocide against the Masalit group, in particular in Western Darfur”, he explains that “the members of the Masalit group, a people residing mainly in the Western Darfur region of the Republic of Sudan, are African blacks who speak of the dialects of the Langue masalit ».
«Les Emirats ont recruté des milliers de mercenaires du Sahel»
Selon le gouvernement soudanais, «des milliers de masalit de toute la République du Soudan, et en particulier de l’ouest du Darfour, ont été tués dans le cadre de ce génocide entre les mains des milices rebelles du RSF. L’intention de la milice rebelle de la RSF était de détruire le groupe masalit en toute ou en partie. La rébellion a éclaté en République du Soudan et a atteint Dar Masalit, une semaine après son éruption à Khartoum, les masalies ont été systématiquement ciblées, en raison de leur appartenance ethnique et de la couleur de leur peau.
Les gens ont été brûlés vivants. Les milices rebelles se sont engagées dans des exécutions extrajudiciaires, un nettoyage ethnique, des voyages forcés de civils, de viols et de villages. Le FSR et les milices alliées ont systématiquement assassiné des hommes et des garçons, y compris les nourrissons, sur une base ethnique. Ils ont délibérément ciblé les femmes et les filles de certains groupes ethniques pour les violer et d’autres formes de violence sexuelle brutale, ciblées sur la course, assassinaient des innocents qui ont fui le conflit et ont empêché les civils restants d’accéder à des fournitures vitales. Après avoir fait irruption dans la ville d’Al Hilaliya, une ville de l’État de Gezira, la milice rebelle du FSR a ouvert le feu et tué 357 civils, dont 212 femmes, filles et enfants, empoisonné l’eau potable et empêché l’accès à la drogue.
Le Soudan accuse les émirats de «nourrir» la rébellion et de «soutenir la milice qui a commis le crime de génocide dans l’ouest du Darfour» et affirme qu’ils «envoient leurs propres agents dans la République du Soudan afin de diriger les forces rebelles des communications politiques et des émiers arabes unis», ajoutant la «grande partie des communications politiques et des émiers arabes unis.
Les Emirats sont également accusés d’avoir «recruté et formé des milliers de mercenaires, du Sahel, des pays voisins et même de la Colombie, qu’ils ont envoyés à la République du Soudan pour aider les milices rebelles RSF pour perpétrer le génocide et continuer drones ».
Les Emirats sont accusés de complicité concernant le génocide du masalit en dirigeant la milice rebelle RSF et en lui fournissant un soutien financier, politique et militaire important. Il a ajouté que «la relation entre la milice rebelle RSF avec le gouvernement des Emirats est de telle dépendance et le contrôle qu’il serait juste, à des fins juridiques, de l’assimiler à un organe du gouvernement des Emirats, ou en tant qu’agir en faveur de ce gouvernement».
Selon lui, le fait que «les Émirats ont choisi d’agir par le biais de la milice rebelle RSF ne peut pas leur permettre d’échapper à leur responsabilité internationale en vertu de la Convention sur le génocide».
Il demande au tribunal de «maintenir une audience d’urgence, d’indiquer des mesures provisoires pour mettre fin aux violations perpétrées par la milice rebelle RSF, pour ordonner toutes les mesures de précaution nécessaires pour mettre fin aux violations décrites ci-dessus, et pour forcer les Émirats pour cesser leur soutien à la milice rebelle du RSF».
Sudan recalls that it has “on several occasions and urgently” issued its “concerns and denunciations” against the Emirates for their “continuous support for the rebellious RSF militia”, which, according to him, was the main reason for all the violations and all the acts committed against the Sudanese civilian population “and” leads to the Sudanese civilian displacement, murder, theft of goods, on conditions equivalent to physical and psychological torture et autres conditions horribles ». Salim Telem
La défense des Emirats n’a pas répondu au bas de l’affaire
Le Soudan a présenté de nombreuses déclarations à l’Assemblée générale des Nations Unies, condamnant «l’ingérence et la participation» des Émirats dans les affaires souverains internes de la République du Soudan, en présentant «des documents de soutien qui prouvent le soutien» émiratie à la milice rebelle RSF. In addition to its request, Sudan asks the CIJ to indicate protective measures against the Emirates so that they “comply with their obligations with regard to the Convention for the Prevention and Repression of the Crime of Genocide and take all measures in their power to prevent the Commission against the Masalit, of any act of application (…), the Convention, in particular: The physical or mental integrity of members of the group, the intentional submission of the group to conditions of existence having to lead to its Destruction physique totale ou partielle, l’imposition de mesures visant à entraver les naissances au sein du groupe ». Le 10 avril, des audiences publiques consacrées à cette demande ont eu lieu au Palais de la Paix, à La Haye. Les deux délégations conduites, du côté soudanais par le ministre (par intérim) de la justice, Muawia Osman Mohamed Khair et Emirati, par l’ambassadeur du Royaume des Pays-Bas, Mme Ameira Al Hefeiti, ont pris toute la journée pour présenter leurs arguments. Le Soudan a réitéré sa position contre le soutien des Emirats pour rebeller des groupes armés qui commettent des génocides et ses demandes de mesures de véranda.
Les Emirats ont concentré leur défense principalement sur la procédure formelle. His numerous representatives who succeeded each other to defend them before the High Court, during the public hearing of April 10, asked for the “rejection” of the Sudanese request which, according to them, must be striked from the role “, on the basis of article IX of the Convention on the Genocide. This compromising clause which is the subject of reserve of numerous states, including the Emirates, concerns “the submission of disputes occurring between the contracting parties relating to L’interprétation, la demande ou l’exécution de la Convention, à la Cour internationale de justice, à la demande de l’une des parties au différend ». La défense des Émirats n’a à aucun moment répondu à la substance de l’affaire, qui est de dire les accusations de« complicité dans le génocide »au Soudan, par leur« soutien financier et militaire aux groupes armés, en particulier le FSR ». ST