Que nous rassurons immédiatement les partisans parisiens qui ont préféré profiter de leur samedi en plein air plutôt que de rester sur leur canapé pour regarder les voyages des Parisiens à Strasbourg: ce n’est pas le vrai PSG qui a perdu ce samedi après-midi contre le Meinau (2-1). Et ce n’est rien comme celui que nous verrons le mercredi soir Challenge Arsenal au Parc des Princes pour obtenir son billet en finale de la Ligue des champions le 31 mai à Munich.
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Oui, Paris a perdu pour la deuxième période consécutive de la Ligue 1 et cela reste un petit événement car il ne lui était pas arrivé depuis mars 2023. Oui, Paris a perdu son invincibilité à l’extérieur sous les ordres de Luis Enrique et cela fait une tache dans le décorum parisien avant de jouer sa saison dans quatre jours. Mais comment pouvons-nous tirer des conclusions d’une réunion où un seul titulaire d’élément aux Emirats enchaînés à Strasbourg (Joao Neves a finalement sorti au moment de la pièce)?
Lorsque Mikel Arteta a décidé de renouveler neuf joueurs sur onze pour affronter Bournemouth, Luis Enrique, il a favorisé le reste de ces dirigeants (Donnarumma, Hakimi, Marquinhos, Nuno Mendes et Ousmane Dembélé laissé à Paris) et préféré).
Lucas se trouvent
Nous avons imaginé ce PSG beaucoup moins cohérent et plus à la merci d’un nouveau revers, une semaine après son précédent contre Nice. Il ne l’a pas manqué. Paris avait plutôt l’air bien pendant vingt minutes et montré de bonnes intentions matérialisées par une tête de Ramos (3e) ou une frappe lointaine de Lee (14e). Cela est resté timide, sobre et comme il n’était pas à l’abri de quoi que ce soit avec cette jeune équipe (22 ans en moyenne), le PSG a finalement été alourdi par des erreurs individuelles de ses deux Lucas.
Beraldo, d’abord, coupable d’un renouveau dans l’axe totalement échoué qui a conduit à un coin alsacien. Hernandez a ensuite poussé ses propres filets le ballon qu’il essayait d’esquiver dans ce même coin concédé quelques secondes plus tôt (20e). Qu’il joue avec son équipe A, B ou C, Paris affiche les mêmes maux et démontre toujours la même fièvre sur les coups de pied arrêtés avec ce 16e but recueilli sur cette phase de jeu qui est décidément son grand point faible.
Barcola Revolt
La hauteur de l’ironie, c’est donc l’élément le plus ancien du PSG (29 ans) qui a gagné ce PSG beaucoup trop léger dans tout: engagement, efficacité ou créativité. Les autres substituts habituels n’ont pas réussi à tirer le collectif parisien et n’ont pas fait grand-chose pour démontrer qu’ils étaient meilleurs que ce statut. Il n’était finalement pas surprenant de voir Strasbourg doubler le put juste avant la pause d’une superbe frappe du pied droit signé Félix Lemaréchal (45e + 3) qui a enflammé le Meinau.
Encore une fois, Lucas Hernandez a montré une passivité confondante dans son couloir gauche et son remplaçant à la pause (entrée du jeune Noham Kamara, qui connaissait son premier avec les pros) pouvait presque ressembler à un soulagement. Désiré Doué a remplacé Kang-in Lee, libéré en blessure. D’après le soulagement, Bradley Barcola a également dû savoir quand il est venu pour réduire l’écart dans les vestiaires (43 secondes de jeu en deuxième période) d’une ruée assez solitaire (46e). Un objectif en capital pour le PSG et pour le numéro 29, qui est resté sur onze matchs consécutifs sans trouver le filet.
Complètement à l’intérieur de la première période, l’international français sonnait la petite révolte des Parisiens mieux organisé après la pause et plus rigoureux tactiquement. Les hommes de Luis Enrique étaient également plus dangereux mais avaient tendance à se précipiter trop dans leur dernier geste, que ce soit Ruiz (65e), doué (70e, 75e) et Mbaye (78e, 81e, 88e), ou manquer de précision comme ce chef de Ramos (85e). Il n’aura pas beaucoup manqué au PSG pour éviter cette défaite qui sera rapidement oubliée si le vrai Paris, l’authentique, élimine Arsenal mercredi soir.
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