Suite à un message insultant de l’entraîneur du TGB contre l’un de nos journalistes, le rédacteur du groupe Hautes-Pyréné a décidé de ne pas être présent aux côtés du Tarbais Club à la demi-finale mercredi soir.
Depuis le match de championnat (J20, TGB-Roche Vendée) et jusqu’à la demi-finale contre Charleville-Mézières, mercredi soir, nous avons décidé de ne pas assurer la couverture médiatique du TGB au moins en donnant les résultats secs. Certains l’ont remarqué et pour répondre aux questions légitimes de nos lecteurs et / ou supporters du Tarbais Basketball Club, nous avons décidé de livrer quelques explications.
Après l’article daté du 6 mars, concernant le départ du capitaine du TGB, Camille Droguet, pour Basket Landes la saison prochaine, nous avons dû faire face à une réaction aussi épidermique que virulente de l’entraîneur, qui a attaqué l’un de nos deux journalistes de l’écriture de Hautes-Pyrénée.
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Si aucune information dans l’article n’a été officiellement contestée, car nous n’avons reçu aucune demande de clarification ou de correction, en revanche, le message daté du 18 mars, 12 jours après la publication de l’article concerné, dit «une collection de conneries». S’il avait souhaité, l’entraîneur du TGB aurait pu demander un droit de suivi, la publication d’une précision, une correction, même un droit de réponse tel qu’il est utilisé.
Sous le couvert de la réaction à un article, il s’agit en effet d’une attaque ad hominem, loin des codes éthiques du sport, qui a été développé dans la plupart du message. Au-delà de cela, l’auteur résume le journaliste à ne plus approcher l’entraîneur, ou à parler librement aux joueurs dans l’enceinte de l’Adour Quay. Qu’en est-il de la liberté de la presse?
L’auteur du message fait toujours des remarques offensives sur le physique de la personne concernée, ainsi que des présupposés sur l’état d’esprit qui anime la rédaction des Hautes-Pyrénée comme pour le traitement du TGB. Le TGB a célébré ses 42 ans, la Nouvelle République des Pyrénées a célébré son 80e anniversaire et La Dépêche du Midi affiche 125 ans… Les journaux du groupe de répartition ont été aux côtés du TGB dès le début) comme dans le mauvais temps (Coupé de France et la Coupe d’Europe Ronchetti en 1996 par exemple) comme Bad. Suivi à long terme en respectant ce que tout le monde est. Après ce message inacceptable, la rédaction du groupe de répartition attendait des excuses. Las. Il n’y en avait pas. La situation reste suspendue.
Ce sont les raisons qui nous ont poussés à ne pas être très présents aux côtés du TGB. Face à notre rôle d’information vis-à-vis de nos lecteurs de sports et de développements extra-sportifs, à la fois heureux et parfois malheureux, nous avons choisi de couvrir la demi-finale du TGB.
Nous voulons que les violettes se renouvellent à Charlevilles-Mézières, lors de la demi-finale de retour, le même exploit dans Bourges en quart de finale. Allez TGB!