MLors d’une élection à 4 points à la fin de la demi-finale pour faire le mercredi à Prissé (67-63), les Landaises n’ont pas d’autre alternative que de gagner au moins 5 points, ce dimanche (17h30), pour le retour de leur duel avec Charnay. Mais ils ont objectivement les arguments pour y arriver.

1 Une équipe de réaction, jamais mieux que de retour au mur
Mercredi, Basket Landes a été réalisé presque tout le match par Charnay. Et ce n’est pas nouveau cette saison. Nous serions même tentés de dire que c’est une spécialité LANDES de nous retrouver dans la position du chasseur, de courir après le score et de dessiner dans les derniers instants du match. Ils ont supprimé les deux quarts de finale contre Lyon (68-69 puis 69-61) en le faisant.
Et déjà, pendant la phase régulière, ils avaient surmonté Charnay lors du match de retour à Mitterrand (78-69) le 25 janvier. Pas moins de deux extensions avaient pris. Lorsque vous savez que les Landes, aux absent absents au cours d’un deuxième trimestre défaillant (seulement 9 points enregistrés), ont conduit dans tout dans les 11 minutes de cette réunion, dont 10 de RAB, qui en dit long sur leur endurance et cette capacité à sublimer lorsqu’il n’y a pas d’autre alternative.
2 Le sens tactique de Julie Barennes
Stéphane Leite, l’entraîneur de Charnay, a utilisé des cordes non publiées afin que les siens se retirent du jeu pendant le match aller, et plus généralement tout au long d’une saison réussie. Mais il reconnaît facilement, et avec un plaisir inébranlable, ayant trouvé son maître pendant plusieurs saisons. Une maîtresse, dans ce cas: son homologue de basket-ball, sur lequel il ne fait jamais l’éloge. Y compris mercredi soir, au point de ramener parfois l’équipe à son seul entraîneur.

Philippe Savat / SO
«Nous avons marqué rapidement sur les surprises. Défensivement, nous les avons bien arrêtés. Elle (Julie Barennes) a été préparée à beaucoup de choses parce que dans l’année, nous avons beaucoup piraté et elle nous a bien répondu, surtout dans notre zone de« presse »où elle a été très efficace. Nous l’avons dérangée, elle s’est adaptée et elle a fait ce qu’elle a été très bien en train de se procurer et elle a été très bien en train de se procurer le match pendant le match et pas après le match. avoir un peu plus raffiné son plan de bataille pour le tour de retour.
3 L’éveil des dirigeants attendus
Respectivement 9, 4 et 5 points enregistrés mercredi et un impact moins prédominant sur la réunion. Lors de la première étape, Leïla Lacan, Luisa Geiselsöder et Destiny Slocum n’avaient pas la performance attendue lors d’une réunion de barrage où, plus que jamais, les chefs d’équipe peuvent et doivent faire la différence. Et c’est la première fois cette année que les trois ont offert des avantages inférieurs à leur potentiel en même temps. À tel point qu’il semble inimaginable qu’un tel scénario puisse se reproduire, en particulier compte tenu du caractère bien tempéré des trois jeunes femmes.
Pour être convaincu, il suffit de vous plonger dans les statistiques de ce match célèbre gagné après les extensions, après quoi même Stéphane Leite a eu des performances XXL enthousiastes de Leïla Lacan, MVP de la réunion avec 24 points, 5 interceptions et 25 de l’évaluation, et le destiné Slocum, un stopable à trois points (6 succès et 22 points dans le total). Le jour et la nuit avec le 1/11 FAMENIC 1/11 mercredi, qui passait rarement deux fois de suite dans cette zone. Quant au pivot allemand, avec 6 rebonds et 7 passes décisives, il a également largement contribué au succès des Landes.
4 Un banc sur lequel nous pouvons compter
Charnay, privée de ses deux meilleurs joueurs de la saison, Monique Akoa Makani, qui est allée au Camp WNBA avec les Wings de Dallas, et Coralie Chabrier, leader et capitaine des Burgundiens, blessés, pour ces demi-finales, a trouvé un beau défilé en impliquant Claire Dalstra et Nathalie Desset, deux jeunes espoirs. Le premier a également amené son ECOT à la participation collective des Charnayennes avec 6 points, dont 4 sur 4 en lancers francs qui témoignent d’une belle maîtrise de soi et de 3 rebonds défensifs.
Mais entre la fatigue accumulée, et certainement amplifiée par le long voyage pour atteindre le Mont-de-Marsan, et des rotations limitées, la force de frappe est clairement plus large du basket-ball de Landes. Mercredi, le banc de Landes a rapporté 28 points, bien en avance sur les 8 obtenus par celui des Pinkies. Pour ce retour, les joueurs du Blue and White Club peuvent également et surtout compter sur le retour de Myriam Djekoundade, remettant sa douleur à un tibia. Si l’aile sera certainement à court de rythme, nous pouvons compter sur son comportement toujours exemplaire et un désir décuplé par ce jugement forcé à contribuer à la partition de la sienne.
5 Le soutien de Mitterrand à porter le sien
Il aura été suffisamment répété depuis le début des play-offs: l’avantage du champ n’est jamais trivial, surtout pour un match de retour. Surtout lorsque sa terre est l’espace Mitterrand, tamponné «Warmer in France» par l’entraîneur de Charnay lui-même. Lorsque nous voyons l’impact de quelque 1 300 spectateurs (peut-être un peu plus en vue des tribunes) sur la performance des «Pinkies» mercredi et celle du public de Montoi lors des matchs les plus tendus pour les Landaises, il ne fait aucun doute que l’atmosphère du dimanche sera importante. Il a déjà permis aux paniers de renverser les montagnes. Tellement bon, cinq points…