«Ouais, je ne te cache pas qu’avant le match, il y avait un peu de fatigue. Et pourtant, Hugo Robineau et ses coéquipiers sont de nouveau allés à la fin de leurs efforts pour prendre le maximum à l’avance sur Évreux, samedi 3 mai.
Le panier de Boulazac Dordogne a mis 30 aux Normands (88-58), dans cette race ébouriffée en premier lieu et au point général avec Blois. Les deux clubs sont des coreaders. Et si le BBD a signé un + 30, les Bléois se démarquent avec un + 23 contre Chartres (99-76). Au total + 293 et + 337 de deux matchs à partir de la fin.
”+ 13, + 21 et + 30 ″, Alexandre Ménard aurait signé« les deux pieds et les deux mains »avant la semaine que son groupe vient de vivre. Il a dominé Roanne (91-78), une équipe très physique, puis Pau / Lacq / Orthez (84-63), qui a augmenté comme une bombe dans la classification, avant de finir avec le Lantern rouge.
Et ce n’était donc pas facile face à ce dernier, avec des «jambes lourdes» et des «bras fatigués», explique Ménard. Évreux «Multiplié les défenses, nous avons eu un temps de latence pour trouver l’adaptation».
Boulazac semblait parfois parcourir son basket-ball, «hésité à prendre des tirs». L’entraîneur plaide le «trop d’altruisme. Nous avons manqué trop de situations [NDLR : de tir] que nous n’avions pas après. Nous ne savons pas si le deuxième coup sera meilleur. »»
Louis Cassier affecté
Le personnel l’a fait référence dans les vestiaires et le deuxième souffle de Périgourdin est apparu, malgré les défauts rapides d’Angelo Warner, du veau gauche touché par Louis Cassier ou Cyrille Eliezer-Vanerot toujours malade. «Tous ont essayé de se battre avec ce qu’ils avaient dans le réservoir. Vous devez réaliser ce que c’est, trois matchs consécutifs. En termes de concentration, ils sont restés solides.» »
-Pour marquer autant que possible et prendre le moins, le BBD ne peut pas se détendre. Même devant le dernier, ce qui a un impact avec les «beaux bébés» qui sont Okafor ou Oueraogo.
Ce dernier a néanmoins ressenti la détermination périgrée lorsque Robineau s’est levé pour le contrer alors qu’il allait égaliser, le 27 (45-43). «Cela contre, cela montre également que l’équipe se bat», explique le numéro 8 Boulazacois. Nous poussons jusqu’aux derniers instants où les équipes peuvent se reposer. Nous avons essayé de rayer des points jusqu’à la fin, c’est tout trop fatigant. »»
C’est cependant à la fin que Boulazac a fait la différence. Sa profondeur de banc a joué. L’esprit aussi. «Nous avons dû être fatigués au quatrième trimestre, c’est là que la différence est faite», explique Ménard. Il le voit comme le signe «d’une équipe qui se produit, vit bien ensemble et veut toujours pousser avec les forces vivantes du moment».
Donc, si le BBD n’a pas non plus le droit de faire des erreurs. Parce qu’en dépit de la fatigue, Robineau et son entraîneur ont déjà mentionné les Orléans, la prochaine destination, samedi 10 mai, tandis que les Boulazacois bénéficient de deux jours de repos. Avec un avant-goût de la vengeance de la finale des dirigeants de la Coupe. Et surtout le désir d’aller à la fin.
La journée en bref
Le coup de doux. Deuxième pire défense de la division, Aix-Maurienne a récolté plus de 100 points pour la deuxième fois consécutive, le vendredi 2 mai. Saint-Chamond a remporté 88-107 et exerce une pression sur Savoyards qui ne sont plus assurés de jouer le jeu. De Aix à Denain, il y en a cinq pour trois places et se tiennent en deux victoires.
La Tuile. Malgré deux grands paniers primés à la fin du match de Mathieu Wojciechowski et Lucas Bourhis, Fos-sur-Mer a donné sa chambre lors d’un lancement final de Kevin Harley (77-78), le samedi 3 mai.
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