Volodymyr Zelensky a déclaré qu’il ne voulait pas «jouer» avec les courts trèces proposés par son homologue russe Vladimir Poutine, y compris un cessez-le-feu du 8 au 10 mai, compte tenu de ces délais trop courts pour mener de graves entretiens.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky estime que sa rencontre avec son homologue américain Donald Trump au Vatican, le 26 avril, avait permis à ce dernier de «un peu différemment» le conflit en Ukraine.
“Je suis convaincu qu’après notre réunion au Vatican, le président Trump a commencé à voir les choses un peu différemment”, a déclaré Zelensky.
Sur le conflit lui-même, Zelensky a déclaré qu’il ne voulait pas «jouer» avec les courts trèces proposés par son homologue russe Vladimir Poutine, y compris un cessez-le-feu du 8 au 10 mai, compte tenu de ces délais trop courts pour mener de graves entretiens.
“Ça ne semble pas sérieux”
“Il est impossible de s’entendre sur quelque chose en trois, cinq ou sept jours (…), il est impossible de trouver un plan pour établir les prochaines étapes pour terminer la guerre. Cela ne semble pas sérieux”, a déclaré M. Zelensky à un petit groupe de journalistes vendredi, y compris ceux de l’AFP, appelant à nouveau une trêne inconditionnelle de 30 jours.
Il a également indiqué que Kiev ne pouvait garantir la «sécurité» des dirigeants internationaux qui seront présents à Moscou le 9 mai lors des célébrations du 80e anniversaire de la victoire contre l’Allemagne nazie.
“We do not know what Russia will do on this date. It could take different measures, such as fires, explosions, and then accuse us,” he said, when the leaders of around twenty countries must stand alongside Russian President Vladimir Putin on May 9, including his Chinese counterparts Xi Jinping and Brazilian Luiz Inacio Lula Da Silva, as well as those of traditional allies Kazakhstan, Belarus, Arménie, Cuba ou Venezuela.