1 Découvrez un défi pour tous
Depuis 2018, la Brest on Foot and Bicycle Association (BAPAV) a organisé le défi All-By-Bicycle. Cette année, elle aura lieu du lundi 5 mai au vendredi 6 juin 2025. Le principe? «Les participants sont invités, en équipe, à publier leur voyage de vélo sur un site Web avec le nombre de kilomètres voyagés et des photos. Les équipes sont composées de collègues, de voisins, d’amis, peu importe. «Nous avons même une équipe pour ceux qui sont seuls».
En 2023, plus de 600 participants ont parcouru 100 000 km. Réglez cependant: «Cela fait un moment que nous ne sommes pas sur la même formule, les habitués s’ennuient, c’est normal», explique-t-il. Une réflexion est en cours pour dynamiser l’événement.
2 Profitez du beau temps
Alors, comment pouvons-nous convaincre les Brestois d’aller à vélo lors de leurs voyages quotidiens? «Avec le beau temps, c’est le moment idéal», sourit Gwendal Quiguer, également employé de Bapav. À Brest, l’association est bien consciente des freins principaux. «Ceux contre qui rien ne peut être fait, ils sont le soulagement et la météo. Même si ceux qui font du vélo toute l’année savent qu’avec un vélo électrique et un bon équipement contre la pluie, c’est finalement faisable», poursuit-il.
3 Testez les vélos disponibles
«Ce que nous faisons promouvoir à Bapav, c’est le« système de vélo ». Et l’association est plutôt satisfaite de l’offre de Bibus sur les vélos avec des locations à long terme, mais aussi du système Vélozef à court terme. «C’est quelque chose de très positif qui fait également partie de ce que nous faisons à l’école de vélo pour les enfants et les adultes, et l’atelier de réparation», note-t-il.
4 Évitez de combiner la voiture et les travaux
Un autre frein à vélo est le manque d’infrastructures cyclables. «Et avec le travail, c’est compliqué pour ceux qui veulent se lancer dans la circulation», concède Fred L’Azou. Mais ils cachent également un bon point pour la mobilité douce: «Nous sommes sûrs de notre temps de trajet, contrairement à la voiture, surtout pour le moment.» »
Et puis, le travail signifie également de nouveaux pistes cyclables à venir. «Nous voyons que, dès qu’il y a des vélos ininterrompus, comme entre Arena et le pont Harteloire ou sur le boulevard de l’Europe, cela amène les gens.»
De plus en plus de cerceaux pour faire des vélos en ville.
5 meilleurs parcs
Un autre piège de la voiture pendant le travail que le vélo évite: le stationnement. «À Brest, il y a un réel mieux avec de plus en plus d’arches. Et dès que nous le demandons, ils sont installés par les services de la métropole», apprécie Gwendal Quiguer, qui aimerait cependant plus de boîtes sécurisées.
«Ce défi est également l’occasion pour Brestois de voir l’évolution des infrastructures. Notre fédération, la Fub (Fédération des utilisateurs de vélos, note de l’éditeur) a lancé son baromètre national. En dix minutes, les cyclistes sont invités à venir et à évaluer leur voyage par la ville.