News 24 FR France

«J’ai tout perdu», deux semaines après les inondations, le temps est pour l’évaluation des dégâts autour de l’île -.

-

«Il est toujours humide.» Dans l’agglomération du Grand Périgueux (Dordogne), dix jours après les inondations, certains districts gardent la stigmatisation de cette soirée le lundi 21 avril, où l’île notamment la rue des tanneries en quelques minutes, dans le district de Saint-Georges de Périgueux, et la nuit qui a suivi, au cours de laquelle le déluge de la rivière a atteint son apogée. Inondation de 1993.

Le district de Citi de la Cité Bel Air, sur la rive gauche de l’île, ne s’est pas échappé. Alfred s’invite à Barnabé, un restaurant situé à Boulazac-Isle-Manoire, est toujours fermé le vendredi 2 mai. Les employés continuent de remplir un seau déjà presque complet, lorsque les Rambardes sont repeints pour trouver leur blanc d’antan.

Dans la cave de Marie, rue de l’alma à Périgueux, la trace des inondations est visible, le sol est encore humide.

Michel Faure / SO

Un peu plus loin, Jacky finalise le nettoyage de sa maison. «J’avais 70 à 75 centimètres à ma porte, 40 dans ma maison. Je n’habite pas là-bas, je le rénove, mais j’avais tous mes outils au rez-de-chaussée. Je venais d’acheter des volets à rouleaux, ils sont foutus. J’étais à Brittany quand il était dépassé, la boue drague est venue sur les routes.

La rue des Tanneries, dans le district de Saint-Georges, a été submergée dans quelques minutes le lundi 21 avril.

Romain Agard

“Gardez votre moral”

À Périgueux, dans le district de Saint-Georges, l’île a surpris plus d’un résident lundi soir, en particulier la rue des Tanneries. Pascal, un employé municipal de Périgueux, vit à côté du Michel-de-Montaigne College. Le réfrigérateur, la tondeuse, le congélateur, le sèche-linge ou la télévision de Périgourdin, de la tondeuse, du congélateur, du sèche-linge ou de la télévision.

«L’eau a renversé mon congélateur qui était plein. C’était comme une vague. En ouvrant la porte de mon garage, j’ai eu du mal à aller de l’avant»

Le temps est dans l’observation. «Mon réservoir d’eau chaude a également explosé. J’ai tout perdu. […] Même les jouets de ma petite-fille. L’assurance m’a dit de ne rien toucher. Je viens de supprimer ce qui se sentait mal, explique-t-il. Vous devez garder votre moral. Dans cette rue, les garages ont été avalés, tout comme certaines voitures. D’autres ont perdu du scooter, des canapés, des tapis et divers meubles, et ont du mal à se débarrasser de ces odeurs d’humidité.

Dans ce studio au rez-de-chaussée d’une maison, cependant, retiré des tunneries au Périgueux, vous devez toujours nettoyer et ventiler, plus de dix jours après l’inondation.

Michel Faure / SO

-

Si certains disent qu’ils ont déjà connu des inondations dans ce secteur, qui marque la vitesse et surtout la puissance. «L’eau a renversé mon congélateur qui était plein. C’était comme une vague. En ouvrant la porte de mon garage, j’ai eu du mal à aller de l’avant» D’autres résidents soulignent un manque de communication de la municipalité, croyant les seules positions sur Facebook insuffisantes.

Compétence

Toujours à Périgueux, rue de l’alma, Marie est également l’une des victimes. Cependant, sa rue n’était pas immergée. “Comme certains de mes voisins, l’eau est sortie du sol d’argile de ma cave, par capillarité, puis dans le jet par le mur, via la nappe phréatique”, spécifie-t-elle. Les dommages ne sont pas moins importants. «Je ne touche à rien et j’ai pris des photos. Un expert aura l’air, dans la vidéoconférence», ajoute la jeune femme, qui avait trois pompes pour déboucher la cave. «Sans cela, l’eau serait dans ma cuisine», quelques pas plus haut. Et l’odeur de l’humidité, même deux semaines plus tard, persiste.

Malgré les pompes, Marie a vu l’eau engloutir sa cave presque entièrement, et ne pas aller loin de sa cuisine, ici le mardi 22 avril.

Photo fournie par une victime

“Comme certains de mes voisins, l’eau est sortie du sol d’argile de ma cave, par capillarité, puis en jet par le mur, via la nappe phréatique”

Dans le centre équestre de La Curvache, dans le district de Maurilloux de Trélissac, nous comptons également les dégâts. Arbre arraché, mangeoires emportées et retournées, pré-gorgée d’eau le long de la voie verte; Les chevaux ont été mis en sécurité le 21 avril dans la soirée dans des endroits de l’écurie encore sec. «Des obstacles pour la croix ont également été emportés et endommagés. Il est toujours très marécageux, avec beaucoup d’eau par endroits, je ne sais pas encore quand les chevaux reviendront ici. Pour le moment, nous avons pris des photos de tout cela», explique Sophie, un instructeur.

Si l’inondation de l’île semble maintenant derrière, c’est le moyen d’estimer les dommages et les remboursements qui ont pris le dessus.

Les chevaux du centre équestre le fouet Trélissac n’ont pas encore trouvé leur place dans les prairies qui longent la voie verte.

Michel Faure / SO

Catastrophe naturelle

La ville de Périgueux, qui a demandé aux services de l’État de reconnaître l’état de la catastrophe naturelle, invite «les résidents ayant subi des dommages à la suite des inondations» à envoyer une lettre à l’attention du service de planification urbaine en indiquant leur adresse et leur identité, et l’étendue des dommages avec des photos «si possible». Les demandes doivent être envoyées par e-mail à [email protected] ou par courrier pour le service de planification urbaine. Il est possible de contacter le service de planification de la ville par téléphone au 05 53 02 82 00.
À Trélissac, vous devez vous rapprocher du service technique de la mairie pour toute déclaration ou question liée à son assurance au 05 53 02 76 76.

Related news :