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La Grande Sophie, a engagé la marraine des réunions d’Asthaffort -.

La Grande Sophie, a engagé la marraine des réunions d’Asthaffort -.
La Grande Sophie, a engagé la marraine des réunions d’Asthaffort -.

essentiel
La Big Sophie est la marraine de la 56e session des réunions Astaffort qui ont du 15 au 23 mai. Elle assurera le concert de clôture à la musique avec «uniquement sur scène».

Une voix, une présence, une énergie et une âme supplémentaire. Le grand public a découvert la Grande Sophie le 11 mai 2004, lors de la sortie de “et If It Was Me”, son troisième album. Poursée par le titre «de courage», il sera couronné en 2005 par une victoire musicale, dans la catégorie de révélation de scène.

Figure de la scène alternative parisienne des années «90», elle a publié, le 9 janvier 2025, «Every Day, Suzanne», son premier livre dans lequel elle se révèle. Suzanne est le prénom d’une chanson émouvante de son album “La Place du Fantôme”.

«Francis Cabrel est resté comme il l’a toujours été»

Pour la première fois et avec une joie inébranlable, elle sera la marraine de la 56e session de réunions d’Asthaffort dont elle dit: «Elle a beaucoup entendu». Le principe de l’événement est bien établi: 15 stagiaires, une cour de créations, des superviseurs inégalés, des compositions de «maison» et, finalement, un concert de clôture de la marraine, ou du parrain, avec, dans la première partie, une performance des «astagaires».

Le concert de clôture des réunions d’Astaffort le 23 mai à 21 h sera offert par la Grande Sophie
Jules Faure

Ce 56e épisode est organisé cette année, du 15 au 23 mai, par voix du sud. L’association a été fondée en 1992 par Francis Cabrel pour briser les solitudes artistiques. Chance ou coïncidence, à la musique de la musique d’Astaffort, dans le point culminant de la semaine (23 mai à 21 h), la grande Sophie présentera… «seule sur scène», une expérience basée sur l’adaptation de son livre.

Étonnamment, son voyage a très peu traversé celui de Francis Cabrel. Au-delà de sa capacité à enchaîner les tubes, elle le voit «stabilité dans la musique». «Avec sa guitare, il est resté comme il l’a toujours été. Je pense qu’il n’a jamais essayé de correspondre à des modes». Elle partage avec Francis Cabrel ce côté auteur, compositeur et interprète. Est-il attaché à cette façon exigeante d’être un artiste? «Oui, surtout en tant que femme».

«Les femmes sont toujours minoritaires en musique»

Le monde de la musique est, dit-elle, plus difficile pour les femmes. «Quand j’ai commencé, et en plus de la scène, même s’il y avait eu Barbara, Véronique Sanson, nous étions encore très minoritaires. Nous sommes toujours, mais il y a beaucoup plus de femmes maintenant, de nombreux jeunes artistes. Ils ont les outils de leur temps». Un ordinateur simple et une carte son sont maintenant suffisants pour créer une chanson tandis que elle sourit: «J’ai dû passer par toutes les étapes des 4 pistes, les premières cartes son».

C’est son indépendance qu’elle veut transmettre aujourd’hui. Celui de maîtriser toutes les positions, «celle de l’écriture du texte d’une chanson, même si vous ne vous en sentez pas capable».
Elle dit qu’elle aime «travailler seule la carcasse d’une chanson». “Ensuite, je la fais écouter, mais je sais toujours ce que je ne veux pas et j’arrive toujours à ce que je veux. Il est essentiel de faire confiance à vos oreilles dans une profession où tout le monde vous donne son avis. Si vous savez ce que vous voulez, c’est très bien. Et nous ne savons pas, nous savons ce que nous ne voulons pas aussi.” L’échange avec les stagiaires des réunions promet d’être riche!

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