Nontron – Arudy
Lieu Bazas (Stade de Castagnolle). De temps Samedi 3 mai à 17 h Arbitre M. Florea.
Non-tron le groupe: Chanaud, Vialem, Malemanche, Limousin, Sior, Tarieu, Mussini, Faye, A. Sokotaua, Stiefel, Foodt, Vermandel, K. Boinon, M. Sokotaua, Leprêtre, Changeur, Gerbaud, P. Boinon, Quantin, Houriet, Lasmesuras, Silbermann, Vignaud, Cread.
Il était omniprésent en demi-finale contre Sainte-Foy et CS Nontron comptera toujours sur lui en finale, samedi 3 mai. La troisième ligne Martin Mussini, née en Argentine, a d’abord pratiqué le football avant de suivre son frère au club de San Martin de Cordoba, à 13 ans. «Ce fut une très bonne découverte pour moi.» »
Cependant, elle a presque été brève. «J’ai joué avec Eduardo Bello [NDLR : 27 sélections avec les Pumas depuis]. Lors de mon premier match, il a brisé le bras d’un adversaire. Je me suis dit que c’était un sport dangereux, j’ai hésité à m’arrêter. Enfin j’ai continué. Heureusement pour le rouge et le bleu.
Ce n’est qu’en 2017, à 21 ans, qu’il met ses valises dans non-tron. «Cela a été fait à travers les frères Benviventa et leur père. En Argentine, la famille vivait à 200 mètres de chez moi. Celui qui est alors un centre de trois quarts s’acclimate rapidement en Green Périgord.» J’ai trouvé dans ce club le côté familial que j’avais connu en Argentine. »»
“Un facteur X”
Le CSN n’était alors que son deuxième club. “Dans mon pays, cela ne doit pas changer. Nous restons fidèles. Si nous partons, c’est pour augmenter.” Après cinq saisons à non-Tron, Mussini a rejoint Le Havre, avec qui il est monté du Federal 2 à Federal 1. ” Je voulais voir un peu ci-dessus: «Il justifie. C’est un club avec qui j’ai bien progressé, surtout aux côtés de Jérôme Dunay [actuel manager de Rouen]. Mais j’ai eu quelques blessures et j’ai décidé de retourner à non-tron. »»
De retour au début de la saison, l’Argentin s’est imposé comme un manager du CSN. «Je sais que c’est un cliché, mais nous sommes vraiment un très bon groupe d’amis. Ceux qui m’ont aidé pour mon déménagement à Le Havre sont les mêmes personnes qui m’ont accueilli à mon retour.» C’est un facteur X pour notre équipe. Il savait comment mettre son expérience au service du groupe. Il est revenu comme s’il n’était jamais parti », explique son entraîneur Sylvain Charbonnet.
Ici, il est prêt pour la finale qu’il sera nécessaire d’approcher «la tête froide et le cœur chaud». Mussini sait que nous ne devrions pas changer les choses maintenant, mais que la défense devra être meilleure que pendant la demi-finale gagnée contre Sainte-Foy-La-Grande (62-42). «C’est un bon rappel mais nous resterons positifs. Nous n’allons pas paniquer, c’est la première fois que cela nous arrive dans la saison. Nous sommes bien conscients que si nous avons un quart d’heure d’absence comme en demi-finale, cela n’ira pas», conclut l’Argentin.
Le match
Après une saison plus que réussie avec seulement deux défaites, une augmentation de Federal 3 et un bouclier ministériel, non-tron est à quatre-vingt minutes d’un titre régional. Le CSN sera-t-il le premier Périgord Club à en obtenir un? L’affaire ne sera pas facile contre Arudy, champion des Pyrénées-Atlantiques. Si l’attaque non TRONNE a accueilli pleinement la satisfaction jusque-là, l’investissement défensif pendant la demi-finale n’a pas été à la hauteur de la tâche (62-42). Les couverts devront corriger le tir pour espérer faire le double. «Notre succès passera par la gestion des moments faibles. Nous devons être en mesure de resserrer davantage lorsque nous sommes en difficulté si nous voulons gagner», explique Sylvain Charbonnet, l’entraîneur rouge et bleu.
Arudy a terminé premier dans Hen 5 avec 14 victoires, un match nul et trois défaites, puis a battu Pouillon / Labatut, Mimizan et Saint-Sever dans les dernières étapes, ainsi que Lembeye au pays de Terroir. Le club de l’ancien arbitre international Jérôme Garcès a dans ses rangs des joueurs expérimentés tels que Thomas Sanchou passé par Albi, Castres et Brive ou Adrien Latorre qui jouait toujours dans Pro D2 il y a deux ans avec Béziers.