SNous sommes déjà allongés deux fois cette saison sur des feuilles de match Pro D2. Andrea Lucchini, avec deux «C» contrairement à son acteur homonyme, il est le patient Agena. Remplacement dans Nevers (18e jour) et dans Nice (23e jour), la jeune moitié de mêlée (20 ans) n’est jamais entrée en jeu. Les scénarios de ces matchs n’ont pas permis à Sébastien Calvet de lui offrir ses premières étapes officielles avec les pros. «Bien sûr, je me précipite pour faire mes premières minutes», sourit cette pure tension Agen.
Blessé, il ne pourra pas non plus aider ses coéquipiers à contester l’UBB ce samedi (15 h). «Je n’avais raté qu’un match avec eux cette saison», explique celui qui double la formation de la semaine avec les pros. «Le temps de jeu est essentiel. Vous devez avoir du temps de jeu pour pouvoir progresser. Les espoirs font partie de cette progression.» Une ascension de pente douce après deux ans de juniors à Mérignac et une saison avec l’équipe de National 2 of Fleurance (GERS).
Une «tradition familiale»
Le nom de Lucchini n’est certainement pas étranger aux partisans les plus fidèles d’agenois. «C’est une tradition familiale de mettre le maillot Sua. Mon grand-père avait déjà joué une demi-mêlée à Agen et mon père a également joué Sua dans N ° 8. Bien sûr, tout le monde est un partisan de Sua dans la famille. Small, je suis venu à Armandie en tant que famille, nous étions dans l’ancienne plate-forme Ferrasse. Il est donc assez naturel de ce que Lucchini a mis sur ses premiers crampons à l’âge de 6, ce qui rend ses classes jusqu’à ce que la plus jeunesse.
«C’est bien sûr un rêve pour moi et pour mes proches de faire mes premières minutes avec les pros sous ce maillot»
Non conservé au moment du junior, la moitié de la mêlée a dû exporter à Gironde pour continuer sa passion. «Et puis Agen m’a contacté. J’ai fait un essai et ça s’est rapidement très bien passé avec le personnel des espoirs. Little à petit, j’ai commencé à jouer et à grimper à l’échelle. Et puis j’ai eu la chance de m’entraîner avec les pros la saison dernière à partir de janvier. Pas encore assez pour signer un contrat de premier espoir (c’est sous accord), mais assez pour montrer beaucoup de qualités.
“Soyez là au bon moment”
La moitié de l’éjecteur Melee, avec un bon jeu au pied, Andrea Lucchini a nécessairement tout mis sur son physique (1m78, 69 kg). «J’essaie de compter sur ma lecture du jeu et de faire jouer mes partenaires au mieux pour progresser.» Avec un modèle à son article qui a également porté le maillot Sua: »Maxime Machenaud est l’un des exemples à suivre en termes de professionnalisme et de chemins de carrière.
Étudiant dans la négociation et la numérisation des relations clients (NDRC) dans les saints-capraisses, Andrea Lucchini ne le cache pas: «L’ambition est évidemment de signer un premier contrat en agen. C’est un rêve et surtout un objectif maintenant. Je travaille dur chaque jour. Je suis patient, je sais que vous devez être là au bon moment pour commencer dans Pro D2. Je travaille dur et j’attends mon temps. Je me concentre sur mon jeu et le reste viendra quand cela devra se produire. »»