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Dix ans plus tard, Decazeville trouve le parfum spécial des 2 phases finales fédérales à la maison -.

Dix ans plus tard, Decazeville trouve le parfum spécial des 2 phases finales fédérales à la maison -.
Dix ans plus tard, Decazeville trouve le parfum spécial des 2 phases finales fédérales à la maison -.

Ce dimanche (15 h), Sporting accueille Casteljaloux dans un barrage routier. Un match des phases finales de Federal 2 au stade Camille-Guibert que les Blue et Blancs ne connaissaient pas depuis 2015. Président, directeur, joueurs, ils se souviennent.

Jouez les dernières étapes de votre pelouse, dans votre antre. Immédiatement, l’œil brille, les sourires éclairent les visages et les souvenirs remontent à la surface comme de petites capsules de vie, celles que nous voulons revivre éternellement même dix ans plus tard. Dix longs, mais pas aussi douloureux que cela, des années où le sport a rongé son frein, même en train de se rallier à des moments où il a terminé la saison dernière sur la pelouse des prades, déjà en jeu, après un bon voyage pour sa deuxième saison à Federal 2. Cette fois, le club cher au président Frédéric Mathou goûtera les joies pour se voir auprès de son public, ses supporters envahissent les stands et les gradins de la phrase chute inexorablement dans le cas de bien ou les supporters.

“Pour une fois, nous sommes tombés très forts”

Parce que dans Decazeville, si nous avons le goût de la victoire, nous voulons également porter fièrement ses couleurs comme ce 25 avril 2015 lorsque Sporting jouera son dernier jeu de phases fédérales 2 Final avant celle de dimanche et ce match contre Casteljaloux. Après une saison très remarquable, Sporting terminera quatrième dans sa piscine, cela vous rappelle-t-il quelque chose?

Sauf que cette année-là, les dernières étapes ont commencé en 16e parmi un aller-retour et Sporting tombe sur une première de la poule et pas le moins, Nîmes avec un certain Tavite Vedamu dans ses rangs qui peuvent être vus aujourd’hui, un officier de l’aile de Perpignan dans le top 14. So General Manager du Club, Dominique Alombe, “Nous n’avons pas eu d’ambitions majeures pour la saison. Comme toutes les équipes, nous voulions aller aussi loin que possible et offrir des étapes finales à nos supporters. Pour une fois, nous sommes tombés très forts que nous.«En effet, lors du premier tour, dans une Camille-Guibert pleine pour se fissurer, Sporting Falls est lourdement 24-41. Florent Petitjean, le Decazevilois Centre reprend:»Nous n’avons pas triché. Même aujourd’hui, je pense que nous avons donné le meilleur de nous-mêmes; Mais Nîmes était vraiment supérieur dans tous les compartiments du jeu.

L’élimination est presque, sans aucun doute, mais Florent Petitjean conserve une mémoire émotionnelle et même joyeuse en évoquant ce match. “”Dans Decazeville, un match final est toujours une garantie d’une grande fête et vous savez à l’avance que vous aurez un public en soutien. Vous revenez donc sur le terrain avec pression, mais avec la tête pour respecter ce maillot bleu et blanc et surtout respecter les supporters.

“Une grande fierté d’appartenance”

Le reste n’est que du sport, semble dire que l’ex-capitaine Decazevillois qui, comme ses prédécesseurs et ses successeurs, a très rapidement compris que cette terre abrite une population très différente d’autres endroits d’Aveyron, comme en témoigne le président de l’époque, aujourd’hui le chef du rugby en rodez, Jean-Luc DeLaneau: «Ici, lorsque Sporting joue les dernières étapes, il y a une grande fierté d’appartenance. J’ai toujours été surpris de la soirée d’une victoire, d’une non-qualification pour les dernières étapes, de voir des gens qui se déchirent aux yeux.«Cette fierté d’exister, pour un match de rugby où les plus méchants, aussi certainement les plus envieux de trouver le raccourci aussi difficile que c’était le cas, de crier qu’il y a seulement que dans le bassin exister.

Dix ans plus tard, personne ne se souvient que Sporting, lors du match de retour, n’a perdu que onze points (25-14), a dû composer avec une main-d’œuvre réduite, relancant deux anciens guerriers dans le bain. Luc Soulié, qui a pris soin de la réserve, et Dominique Alaux, a obligé à assembler les crampons. “” C’était mon dernier match de rugby à 40 «, Sourit l’ancienne troisième ligne et le capitaine Decazevillois.

Jean-Luc Delaneau, il revient dans une anecdote qui le fait toujours rire aujourd’hui: «Luc Soulié marque un essai dans Nîmes en contrastant une balle. Et j’entends les gars autour de moi dire: “Le gars qui vient de marquer, il a servi des bières au bar de rafraîchissement au match aller.” «C’est aussi le sport, le sentiment de sacrifice. Des joueurs qui donneraient tout pour le club, même si cela signifie sortir de leur retraite anticipée pour défendre leurs couleurs.

Donc, dimanche, en entrant dans la pelouse, certains dans les tribunes comme sur la pelouse, auront des papillons dans l’estomac et ces papillons, ils seront bleus et blancs.

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