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Arber Xhekaj sur toutes les lèvres -.

C’est une rumeur selon laquelle les gonflements de jour en jour, et qui, dans le contexte actuel, prend un tour presque inévitable: les Bruins de Boston et les Canadiens de Montréal pourraient bien s’asseoir ensemble à la table des transactions.

Un scandale pour certains puristes de cette rivalité historique. Un geste nécessaire aux autres, conscient que la LNH est surtout une ligue d’opportunisme, de plafond salarial et de mouvement perpétuel sur le marché, quelles que soient les rivalités du passé.

Parce que les Bruins ne sont plus la formidable armée d’antan. Cette équipe a besoin de reconstruction.

Patrice Bergeron et David Krejci sont partis depuis longtemps et aucun centre d’élite à prendre le relais.

Pavel Zacha et Elias Lindholm n’ont jamais réussi à les remplacer. Les deux sont critiqués comme jamais dans les médias de Boston, et la réalité est que les Bruins sont sur le point de commencer une transition majeure. Don Sweeney le sait, et il devra être stratégique. Pour reconstruire intelligemment, vous devez capitaliser sur vos actifs disponibles.

Et le Canadien de Montréal recherche activement un deuxième centre et un défenseur robuste pour la série. Deux besoins de base.

C’est dans ce contexte que les noms d’Elias Lindholm et de Pavel Zacha commencent à circuler sur le côté de Montréal. Les acteurs centraux qui pourraient être des solutions «plan B» si Kent Hughes ne peut pas porter un coup au Sidney Crosby, Dylan Larkin ou Mathew Barzal.

Lindholm a connu une saison de cauchemar avec les Bruins. Et son salaire de 7,75 millions de dollars est tout simplement horrible pour une facture salariale.

Pavel Zacha est encore jeune à 28 ans, mais commence à perdre la faveur à Boston. L’ancien 6e choix au total du repêchage de 2015 est toujours un joueur complet et polyvalent, capable de centrer un deuxième trio cohérent. Ce serait parfait pour soutenir Ivan Demidov à ses débuts. Et son salaire de 4,75 millions de dollars par an jusqu’en 2027 est raisonnable.

Mais ce n’est pas tout. Parce que le vrai nom qui fait que Kent Hughes salive, selon plusieurs sources, est Nikita Zadorov.

Le géant russe de 6’6 ”est capable de faire des ravages en série, est l’incarnation parfaite du défenseur robuste, physique et vicieux que le Canadien n’a tout simplement pas. Celui qui goûte tout sur son chemin. Celui que les autres équipes détestent faire face.

Parce que Zadorov est la méchanceté incarnée. C’est la réponse à l’humiliation infligée par Tom Wilson en série.

Ce que peu de gens osent dire publiquement, c’est que Nikita Zadorov ne veut plus jouer à Boston. L’expérience s’est transformée en vinaigre.

Après un revers humiliant de 7-2 contre les Kings en mars dernier, tandis que l’atmosphère dans les vestiaires était toxique, Zadorov a lancé une bombe médiatique qui a établi ses relations avec certains coéquipiers.

Interrogé par l’athlétisme pour savoir s’il appréciait le geste de Jeremy Swayman qui avait quitté son filet pour défendre un coéquipier, Zadorov a répondu sèchement:

«C’est ça, hein?» D’ACCORD. Je ne sais pas. Sans commentaires. »»

Un commentaire jugé méprisant par plusieurs observateurs et qui a semé un inconfort.

Quelques jours plus tard, en voyant que la tempête n’a pas réussi, Zadorov a tenté de calmer le jeu lors d’une conférence de presse. Il a plaidé la frustration, disant que ses paroles avaient été mal interprétées.

“Il n’a pas été dirigé contre Swayman. Nous venions de perdre 7-2, c’était un mauvais moment pour trouver positif”, a-t-il déclaré. Mais le mal a été fait.

Dans les coulisses, plusieurs journalistes de Boston ont confirmé que Zadorov n’était plus le bienvenu dans les vestiaires.

Les tensions se seraient installées entre lui et une partie du noyau. On dit même que sa présence dans le groupe aurait nui à la chimie à la fin de la saison. Résultat: le défenseur russe veut partir et la direction veut également tourner la page.

Mais il y a un hic: Zadorov est laissé. Et Ch a une montagne: Matheson, Guhle, Hutson, Struble, Xhekaj. Le droit est le vrai besoin.

C’est pourquoi, si Zadorov signe à Montréal, Arber Xhekaj deviendra à toutes fins pratiques superflues.

Et précisément, les Bruins cherchent à rajeunir, à trouver la méchanceté sur leur ligne bleue, ceux qui ont perdu la morsure avec le départ de Brandon Carlo. Xhekaj est un joueur de Boston typique: sale, grand, qui frappe et emmène la foule avec lui.

L’échange devient donc très plausible. Si Kent Hughes obtient Zadorov, il peut envoyer Arber Xhekaj à Boston dans une transaction plus grande et pourrait obtenir Zacha en même temps.

Parce que Xhekaj, disons franchement, n’est plus dans les plans de CH à long terme. Martin St-Louis ne lui fait plus confiance. Il a été humilié publiquement. Et son départ est devenu une question de temps.

En réalité, la meilleure chose pour lui serait une nouvelle organisation, dans une ville où la robustesse est une religion. Et pour les Bruins, ce serait l’occasion de trouver un peu de l’âme perdue.

Pendant ce temps, Kent Hughes construisait son mur. Ekblad ou Zadorov, Guhle, Reinbacher, Hutson, Matheson et Carrier. Un mélange défensif de talents, d’expérience, de saleté et de calme.

L’arrivée de Zadorov transformerait CH en une série de séries. Une équipe qui peut réagir physiquement à Washington, Toronto, Boston ou en Floride. Une équipe plus mature. Plus respecté.

La rumeur augmente. Les noms circulent. Et cette fois, les Bruins et CH n’ignoreront pas. Parce que le besoin est trop clair. Parce que le timing est parfait.

Zadorov à Montréal. Xhekaj à Boston. Zacha ou Lindholm comme plan B au centre. Logique comme jamais auparavant.

Et si Kent Hughes presse l’accélérateur, CH deviendra enfin une équipe que d’autres détestent faire face.

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