Publié le 03 mai 2025 à 13:07. / Modifié le 03 mai 2025 à 16h03.
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Fondamentalement, Remco Evenepoel n’a jamais cessé d’être l’enfant qui a donné des sandwichs aux enfants de football qui avaient faim. À partir de ses années à Crampons, le petit résident de Bruxelles a demandé Rab of Bread and Jam de ses parents, et il a laissé ses poches pleines de distribution. Le résident du Anderlecht Club, né en l’an 2000, est devenu champion olympique à Paris, deux fois, sur la route de la Butte de Montmartre, et lors du contre-la-montre; Champion du monde, comme il se doit; Troisième du Tour de France l’été dernier, derrière Tadej Pogacar et Jonas Vingegaard; Et le héros national dans un pays où les rues portent des noms de cyclistes. Malgré la gloire, ou grâce à elle, Remco Evenepoel n’a pas changé, il continue de «donner».
Son apparition sur le Tour de Romandie est faite dans le halo doré de son vélo, son casque et son stylo magique. Il est important de ne pas commencer les autographes car il ne sait pas comment s’arrêter. Un coup d’œil circulaire pour être sûr qu’il n’a oublié personne. Il attrape un feutre au bout de la rangée et signe un kilomètre de papier, presque sans regarder. Sur un malentendu, nous pourrions lui faire lancer une assurance-vie ou des pétitions pour les animaux. L’année dernière, nous l’avons vu en tournée du pays basque, aspiré par sa générosité, déchiré un cahier des mains d’un journaliste qui n’avait rien demandé et apposer son sceau.
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