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Sur la bonne voie avec les Psyko’quads, les pionniers du roller derby à Essonne -.

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Gymnase Raymond-Poulidor, Sainte-Geneviève-des-Bois, mercredi soir: les Psyko’quads crient avec motivation leurs patins à roulettes. Mais pour eux (la grande majorité des femmes le sont), il n’est pas question de se livrer à une race de vitesse, mais plutôt à un vrai sport de contact: Roller Derby. L’objectif du jeu: réussir à surmonter, en parcourant une piste, les joueurs adverses sans être projetés sur le terrain ou en éloignant les limites.

«Nous devons empêcher le jammeuse De l’équipe concurrente en le poussant avec des épaules ou des hanches », détaille le président du club local Pierre Mary, alias Brady-Cordy et Delphine Lugon, alias Poison Elfi. Elle doit donc chercher le petit trou de souris pour marquer des points.” J’ai commencé à regarder les matchs sans comprendre quoi que ce soit “, admet Morgane Alias ​​Mo ‘. Parce que ici, tout le monde a un” Nickname Derby “.

L’aspect «sport de contact» de cette discipline des États-Unis et principalement des femmes qui a attiré Alessia «Alecyanure», 16 ans: «J’ai essayé d’autres sports, mais c’est le roller derby qui m’a le plus correspondant et je ne m’ennuie jamais.» La mentalité entourant le roller derby semble également séduire ses praticiens: »C’est un environnement et une philosophie du roller lieu de sécuritéexplique Delphine. Nous accueillons tout le monde, il existe également une forte représentation de la communauté LGBTQ + “

“Chaque modèle a sa place”

«Nous sommes tous des punks ou tatoués», ajoute le président du club en souriant. Ce mercredi soir, l’équipe de succube des Yvelines ou celle de l’équipe de badass Val-de-Marne avec l’équipe Sainte-Geneviève-de-Bois pour entrer dans une situation de match. Dans la bonne humeur, le rire et la musique, les coups sont également présents. “C’est très violent, nous sortons à chaque fois avec du blues, ce sont nos mini-offices”, rit Emma “Hellawa” et Illyana “Excengue”, équipée de la tête aux pieds. Tous dans «Incroyable bienveillance». »»

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Sainte-Geneviève-des-Bois, mercredi 30 avril 2025. Le club Roller Derby Psyko’quads a été créé en 2012. LP / AB

Dans le monde de Roller Derby, la diversité des profils et des corps est une force: «C’est l’un des rares sports où chaque modèle a sa place, décrit Pierre Mary. Il n’y a pas de sexe, de discrimination raciale ou grossière.

Échappatoire

Historiquement pratiqué par les femmes, Roller Derby s’ouvre progressivement à Male Gent. En minorité, il y en a quelques-uns à venir s’entraîner chaque semaine à Sainte-Geneviève-des-Bois, comme Reda «Red Alert» qui accepte «en tant que gars à reléguer à la deuxième rangée». Il s’entraîne depuis 10 ans, et pour lui «c’est fabuleux de voir la progression de chacun». «Avant de parler du sport féminin, maintenant plus de sport minoritaire. Si vous arrivez avec un bon esprit, c’est bien.» »

La jeune Alessia ne regarde pas les différences non plus: «Il n’y a pas de jugement, c’est un espace pour s’épanouir, une évasion. Sa mère, à ses côtés, regarde fièrement ses progrès.« Tout le monde ici est ouvert d’esprit, est-elle heureuse d’expliquer. L’originalité et les différences sont valorisées. »»

Actuellement, le club, créé en 2012, compte 27 titulaires de licence. Avec l’organisation d’une journée de deux matchs amicaux le 15 juin, les Psyko’quads ont l’intention de présenter leur passion «atypique», «inclusive» et «engagée» au plus grand nombre.

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