Le conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump a été affaibli depuis la «Signalgate», le cas des fuites des plans militaires au Yémen. Marco Rubio, le secrétaire d’État, prendra un travail temporaire.
Affaiblies depuis le mois dernier en raison des activités de fuites d’informations militaires confidentielles, Mike Waltz ne sera plus le conseiller de la sécurité nationale de Donald Trump. Le président américain a annoncé le jeudi 1er mai, sa nomination de nomination des États-Unis le jeudi 1er mai aux Nations Unies (ONU), dans un message sur son réseau social de vérité.
“Mike Waltz a travaillé dur pour hiérarchiser les intérêts de notre nation. Je sais qu’il fera la même chose dans ses nouvelles fonctions”, a écrit le président américain à propos de son conseiller. Son secrétaire d’État, Marco Rubio, assurera l’intervalle du rôle de conseiller à la sécurité nationale, a déclaré Donald Trump.
Un premier remaniement majeur
Mike Waltz était sous pression depuis qu’un journaliste pour le magazine Atlantic a révélé une faille de sécurité majeure en révélant qu’il avait été ajouté à un groupe de discussion sur les frappes américaines imminentes contre les rebelles de Houthis au Yémen, sur la messagerie de signaux.
Ce changement de rôle de l’ancien représentant élu républicain de Floride, 51 ans, a été le premier remaniement majeur dans l’équipe de Donald Trump depuis son retour à la Maison Blanche il y a cent jours. Son premier mandat avait été ébranlé par plus de mouvements parmi ses collaborateurs.
Interviewé par Fox News mercredi matin, Mike Waltz n’a montré aucun signe de son départ imminent lorsqu’il a accueilli l’accord sur l’exploitation des ressources naturelles signées entre les États-Unis et l’Ukraine.
“Personne ne pensait que cela pourrait être fait. Le président Trump a dit:” Faites-le! “”, A-t-il dit.
Le conseiller était également présent la veille autour de la table du dernier conseil des ministres – diffusé en direct du début à la fin.
Steve Witkoff a pressé de succéder à Mike Waltz
Mike Waltz, ancien officier des forces spéciales de l’armée américaine, avait assuré la «responsabilité» des plans militaires des fuites au Yémen expliquant qu’il avait créé le groupe sur Signal. Le gouvernement Trump et d’autres hauts responsables américains, dont le ministre de la Défense, Pete Hegseth, le vice-président américain JD Vance, ou les propriétaires de la CIA ont été inclus.
Les membres du groupe ont notamment partagé le calendrier prévu des attaques aériennes américaines imminentes contre des cibles au Yémen et leur cours en temps réel. L’affaire a également affaibli le ministre de la Défense Pete Hegseth. L’ancien présentateur de Fox News Channel fait également l’objet d’une enquête interne sur le Pentagone à ce sujet.
Donald Trump avait publiquement publié son soutien à son entourage impliqué dans la conversation après la révélation de ce «Signalgate».
Steve Witkoff, dont le président républicain a fait son émissaire pour les négociations avec la Russie, d’une part, et l’Iran et son programme nucléaire, d’autre part, sont bien placés pour succéder à Mike Waltz, selon la presse américaine. Quatre conseillers à la sécurité nationale avaient réussi le premier mandat du milliardaire de New York.