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Pris dans la gorge, de plus en plus de paysans appellent à l’aide -.

Pris dans la gorge, de plus en plus de paysans appellent à l’aide -.
Pris dans la gorge, de plus en plus de paysans appellent à l’aide -.

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Lorsqu’il a déménagé en 2003 pour faire du lait, Christophe Maudet était alors un jeune fermier et c’est en élevant des vaches qu’il lance. Mais le moment est mal choisi et le secteur plonge. «C’est devenu très difficile tout de suite. Nous ne savions tout simplement pas ce que nous devons faire», explique Christophe. C’est avec des paysans de solidarité que lui et sa femme trouvent une béquille pour se lever. Aujourd’hui, ce sont eux qui paient une oreille attentive à leurs collègues en difficulté.

L’Association PictoCarentaise, basée à Ruffec, a soutenu les agriculteurs en grande difficulté pendant 35 ans à leur demande. En 2024, elle a reçu 81 dossiers d’agriculteurs Charente. “Il est 34 plus qu’en 2023. Et la tendance au début de 2025 est malheureusement la même”, a déclaré Marie-Madeleine Léonard, chef du département du département.

Une chaîne de galères

«Je me souviens des bénévoles de l’association qui ont téléphoné régulièrement pour entendre nos nouvelles», explique Fabienne, installée avec son mari Christophe à la ferme. «En 2006, l’association m’a demandé d’intervenir avec un fermier qui connaissait les mêmes difficultés que moi. C’était le clic. J’ai découvert qu’il y avait pire que nous», explique Christophe Maudet.

Comme Jean-Christophe, qui, à Bardenac, a repris l’exploitation de ses parents en 1993. À 53 ans, l’éleveur de bétail de viande est en service depuis 2016. “Je ne pouvais rien payer. Ni la MSA, ni les fournisseurs, ni personne. Lorsque le téléphone sonne tous les jours et à la fin, les créanciers ne vous demandent pas, nous ne finissons pas, nous appelons à une aide,” Il dit, le Crevroteur ne vous a pas fait, nous ne finissons pas, appelant à une aide, “Il dit, le Chevroteur.

Dans la ferme familiale, les calamités sont liées. L’accumulation de mauvaises années de récoltes, d’abord. Ensuite, l’investissement pour la mise à niveau des travaux d’un bâtiment et un malentendu ont découvert tardivement en raison d’une lettre ouverte à temps: 25 000 euros supplémentaires seront nécessaires.

Plus de banques froides

Lorsque, en 2016, son plan de récupération est validé, c’est une tuberculose bovine qui tombe dans la région. “Je viens de prendre la tête de l’eau et je l’ai immédiatement donné”, a déclaré l’éleveur. «J’ai fait campagne pour un abattage partiel. Aujourd’hui, vous êtes facilement tué un troupeau pour une seule vache qui est malade».

“Il y a un temps où, soit il y a un outil de survie, soit c’est du suicide”

Il perd toujours 50 animaux. «Des moments comme ça, nous pensons à baiser dans l’air», explique Jean-Christophe. À ses interlocuteurs de l’association, il confie-t-il à les avoir rencontrés à temps. “Il y a un moment où, soit il y a un outil de survie, soit c’est le suicide”, a déclaré Christophe Maudet, qui raconte le soir au téléphone avec Jean-Christophe, “les soirs quand ça ne va pas”.

De Montchaude où il a été installé en tant que vignoteur et célèbre, Lionel Berruchon a également demandé les services de solidarité paysanne. «Avec un QNV (note de l’éditeur normalement vinifiée) qui passe de 14 à 7,65, eh bien nous avons divisé le chiffre d’affaires de deux», révèle l’homme qui a repris la famille pendant cinq générations.

L’agriculteur de 38 ans, en rétablissement, a subi la crise viticulture. «Il y a deux ans, j’avais besoin de 20 000 euros pour mon fonds de travail. Le lendemain de mon appel téléphonique à la banque, j’avais l’argent sur le compte. Aujourd’hui, vous ne devriez même pas espérer. Mon représentant légal m’a dit qu’il n’avait pas de dossier VITI inférieur à un million d’euros de dettes».

Vers une vague de détresses agriculteurs

Ce qui attire les Thunderbolts même des partenaires de tous les jours. «Je viens d’apporter du diesel. Avant, je m’envoyais la facture et j’ai payé 30 jours. Aujourd’hui, il doit déjà être réglé si je veux être livré», explique Lionel Berruchon. «Les banques, les fournisseurs, les coopératives. Tout le monde ajoute aux agriculteurs qui sont déjà en difficulté», explique Jean-Loup Mercier, président de Solidarité Paysans, qui dénonce une pression psychologique «intenable» pour les paysans.

«Nous entendons des phrases« ah oui donc, il ne peut pas travailler »», explique Christophe. “Au cours de la semaine où l’opinion de la récupération a été publiée, les propriétaires de nos terres ont fait le tour des agriculteurs locaux pour leur dire ‘vous savez, Fabienne et Christophe sont bientôt la fin, restez prêt si vous voulez récupérer le terrain.”

Il reste cinq ans pour le couple avant la fin du plan de récupération et Fabienne craint qu’ils soient les pires. Jean-Christophe a 20 hectares de maïs à lancer, mais il ne sait pas s’il y ira. «Juste la graine, il y a 5 000 euros pour 5 000 euros.» Quant aux paysans de solidarité, elle se prépare à recevoir la vague. «Avec le contexte, les agriculteurs seront en grande difficulté. Ils doivent demander de l’aide avant que la dette ne soit trop importante», explique Jean-Loup Mercier. «Avant le défenseur recommandé, la table de la cuisine».

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