Nous connaissons maintenant celui qui a créé la première boucle télégramme DDPF, l’acronyme de la défense des droits des prisonniers français (DDPF), ce groupe à l’origine des attaques contre les prisons. Il est un soldat de la mafia DZ, ce groupe criminel ultra-violent de Marseille avec le testament hégémonique qui a été extrait de sa cellule du Pontet Peninentiary Center (Vaucluse), lundi, dans le cadre du vaste coup de police des mystérieuses attaques de prisons. La création de cette mystérieuse boucle numérique par Imran A., déjà inculpé dans deux meurtres, confirme l’hypothèse d’une action coordonnée par les Narcotickers soutenue le 16 avril par Le Parisien aujourd’hui en France.
Imran A. est référé ce vendredi matin avec 20 autres suspects devant les juges d’enquête sur la juridiction nationale pour lutter contre le crime organisé (Junalco) pour un acte d’accusation. La poursuite nationale anti-terroriste qui avait pris un peu précipitamment sous la pression politico de cette vague d’ultra-violence contre les prisons et ses superviseurs a signé en faveur de cette juridiction spécialisée dans le crime organisé. Un camouflet. Il y a quelques jours, le PNAT a toujours dit qu’il n’avait pas répandu aucune piste, en commençant par ce tabagisme à partir de l’ultra à gauche.