Cela a commencé avec des étiquettes sur des véhicules à Saint-Nazaire. Avant d’aller à Crescendo avec des lampes de voiture, jusqu’à une tentative d’incendie d’une façade de bâtiment. Au total, dix-sept faits de dégradation, de destruction ou de tentatives se sont déroulés du 18 février au 27 avril. Pourrient la vie de sept personnes qui ont amené des partis civils et deux sociétés: le groupe de promotion immobilière CISN (basé à Trignac) et la Titi Floris Transport Company. Les véhicules ciblés par ces incendies appartiennent à cette société basée à Nantes.
Au cœur de cette histoire, trois accusés arrêtés le 27 avril. Deux femmes de 27 ans et un homme de 26 ans devaient être jugés immédiats ce vendredi 2 mai au tribunal de Saint-Nazaire. Mais l’affaire a été renvoyée à la demande des avocats des défendeurs, afin de se préparer à leur défense. La nouvelle audience est prévue pour le 20 juin à 14 h
Compte tenu du risque de récidive, “Sent de vengeance” et un «Risque de pression sur une victime», Le procureur a affirmé maintenir la détention pré-provenante d’un accusé et le contrôle judiciaire des deux autres. Réquisitions suivies par la Cour.
Placé en détention préalable le 30 avril, l’une des femmes a déjà été condamnée en 2024 pour des messages malveillants concernant un ex-partenaire. Ce single nazaien a déjà reconnu sa responsabilité dans les graffitis. Mais pour les incendies, elle rejette la faute de l’homme de 26 ans. Lui et son compagnon de 27 ans ont été placés sous surveillance judiciaire le 30 avril. Ils n’ont pas de casier judiciaire.
Quel est le lien exact avec la société Titi Floris? Difficile de voir clairement au bas de cette histoire. Pour le procureur, Marie-Céline Loubresse, «Cette succession d’actes», pour lequel deux des accusés «Le ballon est référé», cache «Une amertume en ce qui concerne un ex-partenaire».