Vincent Tagremont, Media365, publié le samedi 03 mai 2025 à 21h09
Ce samedi, Toulouse a mis fin à une série de sept matchs sans victoire en Ligue 1, remportant Rennes (2-1).
Les douzième et onzième n’avaient rien à jouer à la fin de la saison. Mais les Protégés de Carles Novell ont évolué devant leur public, qui est venu en nombre au stade. Téfécé a donc aligné ses meilleurs éléments, tandis que Habib Beye a choisi d’aligner le très jeune Mohamed Meïté, ainsi que le jeune Kazeem Olaigbe et Jordan James devant. Plus motivés et plus complices collectivement, les Haut-Garonnais ont logiquement dominé le premier acte. Brice Samba a dû détourner de la fin des gants dans un centre de Warren Kamanzi que Joshua King convoite le 7e, puis sort devant l’attaquant norvégien, qui avait grillé la politesse à Christopher Wooh une minute plus tard. En tant que déséquilibre dans le 15e, Yann Gboho a vu son tir fuyant le puits de lumière opposé, après un centre derrière King. Le premier de la maison Rennes était plus juste au 28e pour conclure avec 5,50, en deux clés et sur une étape un centre derrière Djibril Sidibé. L’international français s’était mis à la surface après une belle percussion d’Aron Dönnum.
L’équipe de renne dominée logiquement
L’ouverture de la partition était logique, car les Bretons ont souffert des vagues violettes. Ce n’est que dans le temps supplémentaire du premier acte que les hommes de Habib Beye ont fait trembler le public. Olaigbe a envoyé un joli centre enveloppé au deuxième poste. Si Guillaume restait rampt de son corps sur la tête de Meïté, le Toulouse Porter n’avait pas besoin d’intervenir sur le deuxième ballon, envoyé aux tribunes par James, peu inspiré ce soir.
Nous n’avons pas vu comment, sans faire de changement à la pause, Habib Beye pourrait espérer un retour de ses hommes. Mais l’attente et la recherche des Pitchouns dans la récupération ont permis aux Rennes de se projeter eux-mêmes. Au 55e, Djaoui Cissé est monté plus haut que Charlie Cresswell pour couper un centre brossé d’Adrien Truuffert de la tête. Lors du défilé, Guillaume Rests n’a pu voir les dégâts que dix minutes plus tard, suivant un centre derrière la même truffe parfaitement coupée de l’intérieur par Arnaud Kalimuendo, dont l’entrée venait de métamorphoser les visiteurs.
L’exploit de Dönnum restaure les trois points vers les locaux
Paradoxalement, la formation de Breton a gagné en qualité sur les remplacements, et a maintenant égalé les trois points contre Hauts-Garonnais que le public essayait de se réveiller. Déjà décisif lors de l’ouverture du score, Dönnum a décidé de se projeter dans le 81e, sur une libération de restes. En position de l’ailier, le piston norvégien a craqué la truffe sur le duel, puis dans le dribble. Son traversée croisée de l’entrée de la surface était là dans le soupir opposé. Une action qui restera dans la mythologie de Téfécé, et offre une victoire aux habitants qui pensaient qu’ils avaient peut-être lâché, 141 jours après leur dernier succès à la maison.