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Les «balles de tennis qui sont fusées» témoignent d’un résident de Lombia où 400 poulets ont été tués -.

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En Lombie, les grêles ont causé des dommages majeurs dans une ferme de volaille. Environ 400 poulets qui étaient à l’extérieur ont été tués par les averses, l’équivalent de «20 à 25% de l’ensemble» déplore Stéphane, l’éleveur.

Dans le gros sac, accumulez les cadavres de la volaille tués par la grêle. Les poulets blessés étaient abritées dans des boîtes.

Alban Laffitte

«Ce sont des jeunes volailles qui ont paniqué et qui n’ont pas eu le temps de se réfugier… beaucoup sont blessés et je m’attends à voir les autres mourir…» soupire celui qui a également perdu un agneau, également tué par les grêles. «Il venait de naître, il avait cinq jours» souffle Stéphane, déçu.

«C’était sans fin!» »

Comme les autres habitants du village, le toit de sa maison a également été endommagé. L’état du pare-brise de son utilitaire confirme la brutalité des précipitations. «Nous avions déjà salué il y a trois ans. Mais c’était moins violent! Là, il a duré 15 minutes quand, généralement, cela dure 3 ou 4 minutes. C’était infini!» »

Les pompiers des centres de Pontacq, Lembeye et Soumoulou sont restés sur le pont “jusqu’à tard dans la nuit et nous avons repris à 7h30 ce matin”, a déclaré le capitaine Jérémy Daguerre, chef de groupe du secteur touché.

Les pompiers ont aidé les résidents à obtenir des logements.

Alban Laffitte

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La plupart des interventions concernent les opérations de «Tarpauline ou le remplacement des carreaux cassés». «Celles-ci restent simples de protection, il n’y a eu aucun dommage blessé ou catastrophique. Les sites actuels concernent les maisons parce que nous priorisons les habitations», ajoute le capitaine Daguerre ce dimanche après-midi, en Lombia, où la municipalité a rendu la salle municipale disponible pour les pompiers pour une pause de repas.

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“Nous n’avons rien vu, tout était blanc”

Partout, sur les routes de Morlaàs, de Bédeille, de Saubole et au nord de Béarn, Taron, Crouseilles ou Montaner, les routes sont recouvertes de branches et de feuilles témoignant de la violence de l’épisode.

Isabelle et son fils n’étaient pas présents samedi soir à Lombia où le toit de leur maison a été endommagé, mais ils ont pu avoir une idée en découvrant ce dimanche de la taille des grêles encore présents dans la maison.

Valérie Cèbe

“Ping-pong Balles!” Commentaires Felix, vient de rentrer de la côte basque, découvrant la taille des grêles encore présents dans certains fossés. À sa fille Isabelle, le toit de la maison était comme une machine. «Heureusement, j’ai un film qui protège l’intérieur» note ce dernier en découvrant les dégâts. «Cela a même pété le logement du détecteur depuis mon portail», observe-t-elle.

Les routes étaient recouvertes d’un tas de grêle encore visible dimanche dans certains endroits ombragés.

Jean-Luc Lansaman

À Jean-Pierre et Martine Gensou Daban, toujours en Lombia, la nuit était très courte. «Nous avons dormi avec des bassins dans la chambre, il a goûté partout!» »Dit Martine. “C’est arrivé très rapidement. Ce sont des balles de tennis qui ont combattu! Nous n’avons rien vu, tout était blanc: la route, les champs. Et après l’épisode, il y avait un magnifique arc-en-ciel… mais tout a été mâché.”

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