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«Ni Diomaye ni Sonko ne protégeront un directeur défectueux» -.

«Ni Diomaye ni Sonko ne protégeront un directeur défectueux» -.
«Ni Diomaye ni Sonko ne protégeront un directeur défectueux» -.

Le directeur général de SN HLM et membre de Moncap Pastef, Bassirou Kébé, était l’invité de la série en vérité sur RSI. Il a livré une analyse claire de la gouvernance actuelle, tenant compte des comptes et des défis d’un État réformateur.

Bassirou Kébé n’a pas haché ses paroles. Dès le départ, il a rappelé que la prise en compte des comptes n’est pas une chasse aux sorcières, mais un principe fondamental de gouvernance: «Il doit servir d’exemple à tout manager. Pour lui, cette exigence est une garantie de transparence dans la gestion publique.

Bassirou Kébé veut être clair sur sa posture en tant que directeur général. «Je suis l’un des réalisateurs qui gèrent la gestion. Donc moi, en tant que camarades, je dois savoir que nous sommes justiciables. Et si nous faisons des erreurs, la même procédure judiciaire nous rattrapera.

Un message fort adressé à tous les directeurs publics dans un contexte où la justice sénégalaise est appelée à jouer un rôle central dans la moralisation de la vie publique.

Bassirou Kébé veut faire partie d’une logique de rigueur, de justice et de réformes profondes. Pour lui, les directeurs généraux et les autres fonctionnaires sont nécessaires pour établir les bases du projet de gouvernance préconisé par le régime actuel, en fonction de l’éthique, de la compétence et de la responsabilité collective.

Bassirou Kébé n’a pas caché son indignation face à ce qu’il décrit comme une «prédation systémique» ayant marqué les gouvernements précédents: «Ma conviction intime est que le pays était dirigé par des voleurs. Maintenant, il est de la responsabilité des autorités judiciaires de situer les responsabilités et de sanctionner.» »»

Selon le directeur de SN HLM, l’État ne doit pas être satisfait des mesures superficielles: «Il doit servir d’outil pour organiser des réformes majeures afin de répondre aux besoins des sénégalais. Pour lui, seule une transformation structurelle renforcera un avenir aux attentes populaires.

S’adressant à la question des nominations, Bassirou Kébée balaye toute accusation de favoritisme: «Nous n’avons jamais dit que seuls nos militants seront nommés, en outre, il est impossible. Il souligne les appels à des candidats lancés pour des postes comme ceux du Conseil national pour les droits de l’homme ou du Collège Arcoc comme preuve d’ouverture.

S’il reconnaît que «la démocratie doit gouverner avec ceux avec qui nous avons mené le combat», il insiste sur l’unité autour des compétences: «Le développement d’un pays nécessite l’unité de ses fils compétents. Nous ne manquerons pas de les invoquer le moment venu.» »

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