essentiel
Le fondateur du Mazères Basketball Club, Eric Planchon, a toujours soutenu les jeunes avec la bienveillance.
Du président à l’éducateur, Éric Planchon n’a jamais quitté le Mazères Basketball Club et reste un rôle essentiel au sein des bénévoles. Il faut se rappeler qu’Eric était le créateur du club et le premier président élu, à l’époque accompagné de sa secrétaire Betty Segura et Angélique Gresse, le trésorier.
Actuellement, il joue le rôle de l’éducateur de l’équipe des filles U13 et donne un coup de main aux mini-entraîneurs. Eric souligne l’importance, pour le club, de soutenir les jeunes en offrant les créneaux de réception les plus larges possibles. Parmi ses objectifs, il essaie d’amener les enfants à avoir plus confiance en leur pratique du basket-ball, qui, selon lui, influencera un jour leurs choix personnels dans leur vie quotidienne.
Ce dernier s’efforce en particulier pour que les jeunes coopèrent avec différents niveaux et les conduisent à atteindre les mêmes objectifs. Selon Eric, le basket-ball est un levier efficace pour créer des liens sociaux: il suffit de regarder les joueurs lorsqu’ils sont dans la pièce. Il souligne également que lorsque vous exigez et juste, et qu’il n’y a pas de différence entre les enfants, cela permet de réaliser l’inclusion dans la pratique du basket-ball.
«Mais je n’ai pas la vérité, il y a beaucoup de chemins pour accéder au fait que les jeunes prennent plaisir à apprendre le basket-ball.» »
Avec son expérience, Eric note une évolution de l’engagement des jeunes: «Les jeunes ont évolué au fil du temps, mais ce n’était pas nécessairement mieux auparavant. Vous devez grandir avec eux.» »
Selon Eric, le club a la volonté de croître en termes de quantitativement ainsi que au niveau qualitatif. L’apprentissage du basket-ball nécessite beaucoup d’heures de pratique, et il sait que le club essaie de trouver des créneaux supplémentaires. «Mais c’est très compliqué, c’est aussi appelé partage.» »
Depuis son implication dans le club, Éric n’a pas eu d’anecdotes particulières, mais ce qui l’a marqué, c’est le nombre incroyable de personnes qui participent à une fin du club depuis plus d’une décennie. Dans tous les clubs, le manque de bénévoles, de temps ou de moyens est constamment souligné, mais pour Eric, tout le temps passé avec les jeunes peut devenir sa fontaine de jeunes.
Au-delà de cela, il a un lien particulier avec le club: «Notre club attire des enfants au-delà des mazères, et cela confirme que l’image du club est perçue positivement.« Et pour ceux qui souhaitent rejoindre le club, Éric ajoute: «N’hésitez pas, ne vous avez pas peur de quoi que ce soit, de faire vos doutes et de vous remettre en question votre caserne. conclut Éric.