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La crise du logement devrait empirer dans les années à venir, en particulier à Genève – RTS.CH -.

La crise du logement devrait empirer dans les années à venir, en particulier à Genève – RTS.CH -.
La crise du logement devrait empirer dans les années à venir, en particulier à Genève – RTS.CH -.

À Genève comme ailleurs en Suisse, les résidents sont confrontés à une crise de logement aigu. Et cela ne devrait pas s’améliorer: selon la chambre de Genève à l’immobilière, les loyers deviendront inabordables pour de nombreux locataires en dix ans.

Dans un bâtiment de la Vive Water à Genève, un trois pièces [s’il s’agit d’une pièce séparée, la cuisine est comptée dans le total des pièces dans le canton de Genève, ndlr] Coût d’environ 800 francs en 2014 depuis 2023, 1 400 francs valent. Ailleurs, les loyers sont encore plus chers et leur prix devrait encore augmenter dans les années à venir, selon plusieurs spécialistes.

Au sein de l’Asloca de Genève, il aurait vu cette catastrophe arriver. Pour Caroline Renold, avocate de la succursale de Genève de l’Association de défense des locataires, la solution consiste à améliorer le contrôle des prix lors des variations des locataires.

«Entre 2009 et 2023, les loyers nouvellement proposés ont augmenté de près de 24% en Suisse et de 33,4% à Genève. La loi de location n’est pas suffisante pour lutter contre ces augmentations. Elle est extrêmement problématique et elle doit être renforcée», estime-t-elle.

Pénurie pour 2030

Pour Christophe Amenier, le secrétaire général de la Chambre de Genève Immobilière, les prix des loyers ne sont que le symptôme du problème. Il pense qu’une pénurie de logements sans précédent attend le canton de Genève d’ici 2030.

«Nous demandons des actions pour identifier les périmètres où construire, que nous permettons de construire un peu plus haut et de faire plus d’hébergement pour répondre aux besoins de la population. Il sera inévitable d’identifier également les périmètres de la zone agricole», énumérez le secrétaire.

Déclasser les zones agricoles?

Pour sa part, le conseiller d’État Antonio Hodgers, responsable du développement et du logement, estime qu’il est nécessaire d’aller dans le sens d’une utilisation rationnelle du sol. Selon lui, vous ne devriez pas construire partout à tout prix.

“L’étalement urbain est une aberration sociale, financière et environnementale. Il sera nécessaire d’identifier les nouveaux périmètres à rétrograder, mais ce ne sera pas la zone agricole”, a-t-il déclaré à RTS.

Sujet du téléviseur: GA

Web adaptation: Raphaël Dubois

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