Décryptage – Le gouvernement est refusé pour le moment de placer le si acidéré sous la tutelle pour sauver les 600 emplois menacés en France, comme proposé par les forces politiques de gauche.
Jeudi 1er mai 2025 à Dunkerque, il a flotté dans les airs comme un parfum des années 80, cette époque des grandes nationalisations des sept premiers-an de François Mitterrand. À l’appui des employés d’ArcelorMittal, menacés de licenciements, plusieurs chiffres à gauche, du premier secrétaire du Ps Olivier Faure au Secrétaire national des écologistes Marine Tondelier, passant par les députés François Ruffin (environnementaliste et social) et aurélie trouvés (LFI), appelés dans le chœur pour nationaliser l’acier. L’entité française du géant de l’acier a annoncé il y a quelques semaines un plan de restructuration qui doit entraîner la suppression de plus de 600 positions sur sept sites en France, doit la moitié de celle de Dunkerque.
Si le dossier est également devenu politique, c’est parce que dans le problème social de la sauvegarde des emplois est superposé un problème de souveraineté. ArcelorMittal fournit des matériaux d’industries critiques telles que la défense, l’automobile ou l’énergie. «Nous ne pouvons pas…
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