Privacy Policy Banner

We use cookies to improve your experience. By continuing, you agree to our Privacy Policy.

Le pétrole coule avant la décision de production de l’OPEP + pour juin -.

Le pétrole coule avant la décision de production de l’OPEP + pour juin -.
Le pétrole coule avant la décision de production de l’OPEP + pour juin -.

Vers 16 h 50, le Brent affiche une perte de 1,30% à 62,72 $ et WTI baisse de 1,49% à 58,36 dollars.

Les prix du pétrole se retirent vendredi, confrontés aux craintes des investisseurs que l’OPEP + annonce samedi une augmentation plus élevée que prévu de sa production pour le mois de juin.

Selon les informations de la presse, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (OPEP +) ont avancé sa vidéo de lundi au samedi où la production de juin doit être déterminée.

Selon le plan actuel, 137 000 barils quotidiens doivent être introduits sur le marché, mais certains investisseurs s’attendent, comme cela a été fait pour le mois de mai, à une augmentation plus importante que prévu.

Le groupe «pourrait, selon les rumeurs, augmenter sa production de 411 000 barils par jour en juin», explique Jorge Leon de Rystad Energy, à l’AFP.

Et s’il est habituel que le cartel prenne ces décisions le week-end lorsque les marchés sont fermés, l’avancement de la réunion suggère qu’une «probabilité légèrement supérieure» d’augmenter la production au-delà du plan, explique l’analyste.

En réaction, vers 14h50 GMT (16h50 HEC), le prix du Brent de la mer du Nord, pour la livraison en juillet, a perdu 1,30% à 62,72 dollars.

Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, pour la livraison en juin, a chuté de 1,49% à 58,36 dollars.

Ces augmentations de la production de l’OPEP +, malgré un prix déjà très bas sur le marché, peuvent viser à «punir les tricheurs qui ne respectent pas leurs quotas tels que le Kazakhstan et l’Irak, mais cela peut également viser à gagner des parts de marché», selon Arne Lohmann Rasmussen.

«Cela aurait du sens pour l’Arabie saoudite», le membre le plus influent de l’OPEP +, «pour augmenter leur production rapidement pour prendre des parts de marché», abonde M. Leon.

En effet, si des discussions sur le nucléaire iranien et la recherche d’un cessez-le-feu durable entre la Russie et le plomb Ukraine, les sanctions américaines contre Moscou et Téhéran pourraient adoucir et permettre l’exportation de nouveaux barils.

D’un autre côté, si les négociations entre les États-Unis et l’Iran ne progressent pas, Washington pourrait appliquer plus de sanctions contre l’Iran.

«Cela pourrait retirer plus d’un million de barils par jour sur le marché», prédit Arne Lohmann Rasmussen par Global Risk Management, qui pourrait apporter les cours.

-
-

PREV Une taxe arrive sur les forfaits Shein et Temu à partir de 2026 en France -.
NEXT Démystifier l’économie | Comment savoir si un ancien marché boursier papier est toujours digne -.
-