Selon Lemon Press, Aldi connaît un supermarché automatisé à Londres à Londres où l’entrée est conditionnée sur le paiement d’une avance de 10 livres, remboursable en cas de manque d’achat. Ce modèle «Shop & Go», sans espèces ni personnel, est basé sur une application mobile et soulève des questions sur l’accessibilité et l’exclusion numérique.
C’est une initiative pour dire le moins déroutant qui est résonné Presse de citron. Selon nos collègues, Aldi a commencé l’expérimentation à Londres d’un nouveau modèle de supermarché automatisé. Caractéristique spéciale: Pour entrer dans ce magasin «Shop & Go», le client doit d’abord payer. Versez un progrès de 10 livres (11,73 euros).
10 livres pour simplement entrer dans le magasin
Une somme qui sera remboursée s’il ne consomme rien. À condition que vous ayez un smartphone, une application dédiée et un compte connecté. En d’autres termes: une barrière technologique et financière à l’entrée d’un métier censé être libre d’accès.
Le test fait partie de la logique d’une route client automatisée à 100%: pas de fonds ni de personnel de sortie, seulement des caméras et des capteurs pour détecter les articles et déclencher le paiement via l’application. Presse de citron souligne que ce système transforme le simple fait de traverser la porte en un acte monétisé: nous ne sommes pas seulement justes “Jetez un œil”Mais prouvez que nous sommes solvants.
Un filtre social déguisé derrière l’innovation?
Aldi impose, sous le couvert de l’innovation, un filtre social déguisé, se demande le site. Les consommateurs qui ne sont pas particulièrement à l’aise avec les technologies, sans carte bancaire ou sans smartphone sont de facto exclus. Les progrès qui ne profitent donc que le plus connecté, dénonce Presse de citron.
Cette logique d’automatisation excessive n’est pas nouvelle. Il fait partie d’une tendance plus large dans la distribution importante pour effacer le contact humain, analyser à nouveau nos collègues. Mais la transformation en Europe, un modèle de «libre-service technologique» d’Asie, pourrait être maladroit. En France, où l’interaction sociale reste au cœur de l’acte d’achat, cette expérience passerait sans aucun doute.
Et vous, seriez-vous prêt à payer pour traverser les portes d’un supermarché?