Les réactions en Asie et en Amérique du Nord suggèrent des perceptions apparemment très différentes du projet d’acquérir le conglomérat japonais sept & i par régime de couches.
Publié à 7h00
Les investisseurs pourraient réagir jeudi à la décision de sept et moi de donner à Couche-Tard un meilleur accès à ses livres, une étape importante pour faire progresser les pourparlers, et le comportement des investisseurs est reflété.
L’action de l’opérateur des dépanneurs 7 – Eleven a gagné 2% à Tokyo, ce qui semble peu par rapport aux progrès qui semblent avoir été réalisés avec la signature d’un accord de confidentialité, les commentaires des commentaires Martin Landry, de l’entreprise Stifel.
L’action de Seven & I continue de négocier une remise de près de 20% par rapport à l’offre révisée de Colat-Tard, évaluée à 47 milliards de États-Unis.
Cette remise démontre tout le scepticisme ambiant face à la réalisation d’une transaction.
D’un autre côté, l’action de Couche-Tard a chuté de 3% jeudi à Toronto.
Certains investisseurs hésitent
Cette baisse est notamment le reflet des craintes des investisseurs dans le cadre de la taille de la transaction envisagée, selon Martin Landry. «C’est énorme», dit-il.
Les investisseurs appréhenderaient le risque associé à l’opération pour ce qu’il ajouterait au niveau de la dette de la dette, ainsi que le risque de dilution.
Certains investisseurs hésiteraient à acheter ou avoir l’action de couche-tard avant un programme potentiel d’actions liées à une transaction.
-Martin Landry n’est pas très surpris par la faiblesse du titre de Lord-Tard observé lors de la session du jeudi.
Chaque fois qu’il est apparu que les négociations progressaient entre Attard et Seven & I au cours des derniers mois et que les probabilités entourant une transaction semblaient plus favorables, le titre d’Addard Tard, a-t-il déclaré.
À l’inverse, chaque fois que des obstacles semblaient suggérant que les chances d’assister à une transaction diminuaient, le titre de knockdow a été apprécié, souligne-t-il.
Pour sa collègue Irene Nattel, à RBC, la signature d’un accord de confidentialité est un pas dans la bonne direction pour Coit-Tard, mais la route à faire est encore très longue.
Il est loin d’être certain qu’un accord sera conclu et approuvé par les autorités réglementaires
Irene Nattel, à RBC, dans une note envoyée à ses clients mercredi
La gestion de Couche-Tard a notamment déclaré que le contrat de confidentialité vise en particulier à travailler en collaboration dans le cadre d’éventuels dialogues avec les autorités réglementaires.
Le développement annoncé mercredi soir survient à quelques semaines à quelques semaines de la participation de l’Assemblée des actionnaires du conglomérat japonais prévue le 27 mai.
Dans les coulisses, il est chuchoté que la décision de Seven & I de donner à Couche-Tard un meilleur accès à ses données financières ne pourrait être qu’un écran de fumée pour apaiser les tensions avant l’assemblée des actionnaires.
Des doutes restent quant à la volonté de la gestion de sept & i à vendre à Couche-Tard et à la réaction boursière timide observée à Tokyo sur l’action de sept et je pourrais en partie refléter ces doutes.
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