Sans accord pour redémarrer, Lion Electric revient à la Chambre presque tous ses employés tandis que le fabricant d’autobus scolaires électriques inhabituels n’a pratiquement plus d’argent dans ses boîtes.
Vendredi, les nouvelles ont été communiquées aux travailleurs par la communication interne. À moins qu’un revirement inattendu, la société établie à Saint-Jérôme soit sur la voie d’un démantèlement, une vente en partie rechange.
Nous ne garderons qu’une poignée d’employés, une douzaine, selon nos informations, afin d’assurer la maintenance des installations de l’entreprise, tandis que son sort est scellé.
Un groupe québécois inc. espérait acheter le fabricant du Québec, mais le gouvernement de Legault ne voulait pas réinvestir 24 millions de lion – le montant demandé par le consortium.
De plus, le Québec n’a toujours pas indiqué ce qui arriverait au programme d’électrification de transport (animaux de compagnie), qui conférait un quasi-monopole sur le lion dans les bus des écoliers électriques au Québec.
Il s’agit d’une condition essentielle, selon le groupe d’investisseurs, pour assurer une renaissance des activités de l’entreprise.
Déconfitation du lion, qui s’est tourné vers le Droit de l’arrangement avec les créanciers des entreprises (LACC), le 18 décembre, devrait supprimer jusqu’à 200 millions de fonds publics. Les pertes pourraient s’élever à 143 millions de l’État du Québec.
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