Ambitieux, l’équipe Haas, cependant, se compose avec un scénario particulier cette année. En 2025, une partie de l’équipe américaine a changé, y compris leurs deux pilotes, qui sont maintenant Esteban Ocon et Ollie Bearman. Capable de très bonnes performances, comme le Grand Prix de Chine (se terminant respectivement 5e et 8e), les deux hommes souffrent cependant d’un manque d’adaptabilité de leur single.
Sixièmement actuel, deux points de Williams dans la classification des fabricants, Haas semble surtout détenir son rang grâce aux stratégies audacieuses et à la gestion des pneus optimisées par leurs pilotes. En termes de rythme, le VF-25 n’apparaît pas encore aussi compétitif que cela aurait suggéré les tests d’hiver. Cependant, l’équipe travaille activement et Ollie Bearman semble contribuer à ses propres efforts.
«Techniquement, c’est avant tout les recrues que j’ai vues dans le passé. C’est plus préparé que moi quand je suis arrivé en F1. Plus que quiconque de notre générationétait enthousiaste Esteban Ocon. Honnêtement, je pense qu’il a un brillant avenir en Formule 1. »
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Komatsu déjà complémentaire à Bearman
Conformément au pilote français, Ayao Komatsu, directeur de The Haas Stable, avait été amené à s’engager dans les débuts d’Oliver Bearman pour la course cette semaine. Les Japonais avaient notamment loué son adaptabilité, lui permettant d’ignorer certains problèmes embarrassants de la voiture.
« Il est tout simplement extrêmement compétent. Vous devez donc y faire face. Ce n’est pas nécessairement de sa faute. Il est même incroyable qu’il puisse le gérer, comme Fernando Alonso. »» Il a alors dit, n’ayant pas échoué à avertir son protégé sur les aspects dangereux de cet appétit.
Vainqueur de deux courses de Formule 2 en 2024, le jeune Britannique s’était principalement distingué en terminant septième de son tout premier Grand Prix de Formule 1 au volant d’une Ferrari, à Djeddah. Remplacement de Carlos Sainz au pied levé, il avait déjà montré une grande personnalité au volant du SF-24 et une ambition déjà notable.
13e avec six points à ce stade de la saison, Ollie Bearman n’a que huit unités derrière Esteban Ocon. Malgré un seul pasather moins en vue que ceux de Kimi Antonelli ou même Isack Hadjar dans une certaine mesure, l’anglais est une perspective crédible pour un nouveau résultat majeur.
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