L’opération Jaffa a corrigé la grande majorité des lacunes soulevées par le ministère de l’environnement après un incendie accidentel sur le site pour le dépôt de matériaux de construction. La propriétaire aimerait se rappeler que son entreprise travaille dans la réévaluation des matériaux qui étaient auparavant considérés comme des déchets.
«34 sujets Le nombre fait peur, mais cela ne me montre pas la gravité des lacunes qu’il y a de l’avis. Il y a plus de lacunes, mais il y en a plus comme un manque d’affichage», nuise le propriétaire des opérations Jaffa
Mme Pouliot précise que la cause est toujours indéfinie. Les deux autres infractions environnementales les plus graves se sont produites après l’intervention des pompiers lorsque l’eau d’extinction est passée.
«Pendant l’incendie et l’extinction, il y avait beaucoup d’eau. Nous ne voulions pas que cette eau soit ramassée partout sur le terrain. Donc, nous avons dirigé les eaux vers un endroit spécifique sur le terrain, mais un endroit qui n’était pas prévu pour recevoir une quantité d’eau comme celle-ci», explique Magalie Pouliot.
Les dernières lacunes pour corriger concernent la hauteur des îlots lorsque l’entreprise démarre ses activités de tri pour arriver à un produit fini. Ces lacunes seront corrigées.
«Ils diminueront. Mais ce que nous voulons également demander au ministère de l’environnement, c’est de changer l’endroit où nous aurons la réception de notre matériel et de ne pas trier. Nous voulions prendre en compte tous les commentaires des citoyens. Nous voulons donc nous demander si nous pouvons recevoir le matériel derrière l’usine», rassure le propriétaire.
Jaffa Exploitation souhaite commencer ces activités dans quelques semaines. Le maire de St-Alphonse continue de faire pression sur le ministère de l’Environnement afin que l’entreprise se conforme complètement le plus rapidement possible.
«Cela fait plusieurs années que ce n’était pas censé être en vigueur et nous ne comprenons pas. Nous n’avons jamais de suivi – à savoir quand cela commencera vraiment. Nous ne voyons rien qui se déplace également du côté commercial», ajoute le maire de St-alphonse-de-Caplan, Josiane Appleby.
L’incendie s’attendait à une chère à l’époque autant à l’entreprise qu’à la ville. La municipalité a cyclé une facture de plus de 200 000 dollars. Le Conseil envisage de sanctionner l’entreprise. La ville de St-Alphonse consultera la population ainsi que les avocats pour prendre la décision.