Clefs of Morningstar pour le groupe Air France-KLM
Ce que nous avons pensé des résultats du groupe Air France-KLM
Air France-KLM AF a fait un bon premier trimestre malgré les vents opposés, grâce à un déploiement discipliné de capacité, à la monétisation réussie de la cabine premium et à la baisse du prix du carburant. Le chiffre d’affaires du groupe a augmenté de 7,7% par rapport à l’année précédente pour atteindre 6,9 milliards d’euros, grâce à une croissance de 4% de la capacité et à une amélioration de 3% des revenus unitaires, soutenue par un environnement de carburant favorable et une bonne performance de la cabine premium. Malgré la faiblesse saisonnière du trimestre et l’absence de Pâques, la perte de fonctionnement ajustée s’est développée à 328 millions d’euros, soit une amélioration de 161 millions d’euros de glissement annuel. Les flux de trésorerie disponibles étaient solides à 800 millions d’euros, ce qui réduit la dette nette à 6,9 milliards d’euros et l’effet de levier à 1,6 fois le BAIIA.
Nous maintenons notre estimation de la juste valeur car les risques à court terme liés à la hausse des prix à Schiphol et à la faiblesse potentielle du trafic transatlantique sont partiellement compensés par la résistance du trafic haut de gamme, la solidité des flux de trésorerie disponibles et l’exposition limitée au risque tarifaire lié à Boeing. Alors que les incertitudes macroéconomiques, en particulier concernant l’escalade du PIB et des tarifs, pourraient peser à la demande à la fin de l’été, le divers réseau d’Air France-KLM et l’agilité continue de la gestion des revenus le placent en bonne position pour faire face à la volatilité. La moindre dépendance du groupe en ce qui concerne les routes de l’Atlantique Nord (26% de la capacité contre 37% à 47% pour les entreprises comparables) et l’exposition au tourisme entrant en France sont tous des amortisseurs supplémentaires contre le ralentissement de l’économie régionale. La stratégie de premiumisation du groupe est clairement traduite par une augmentation tangible des marges, le contrôle des coûts structurels restant un point essentiel de vigilance pour le reste de l’année.
Le groupe a reconnu une certaine incertitude concernant les coûts de maintenance, mais il a souligné que tout risque lié aux tâches de douane proviendrait probablement d’éventuelles représailles européennes plutôt que de mesures américaines directes. La direction a également souligné que certains fournisseurs tentaient déjà d’augmenter leurs prix, peut-être en prévision des tensions commerciales ou pour exploiter des chaînes d’approvisionnement étroites, mais il a déclaré qu’il résisterait vigoureusement aux augmentations de coûts injustifiées.
L’auteur ou les auteurs n’ont pas de partage dans les titres mentionnés dans cet article. En savoir plus sur les politiques éditoriales de Morningstar.
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