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Ce que nous savons du meurtre d’un Anglais de 65 ans dans le village de Trémolat -.

Ce que nous savons du meurtre d’un Anglais de 65 ans dans le village de Trémolat -.
Ce que nous savons du meurtre d’un Anglais de 65 ans dans le village de Trémolat -.

Qui pourrait blâmer cela dans la soixantaine, qui vivait dans le petit village de Trémolat, à Dordogne? Mardi dernier, un Anglais de 65 ans qui vit dans la ville depuis plusieurs années et qui semblait très populaire, a été découvert devant sa maison, présentant de multiples blessures aux coups de couteau. Face à la violence des coups, elle est décédée presque immédiatement. Deux détentes policières ont été levées depuis le début des enquêtes. 20 minutes fait le point sur l’enquête.

Ce qui s’est passé?

L’homme de soixante ans a été découvert devant sa maison Trémolat, dans le sang et l’arrestation de Cardiper-Respiratory, mardi soir par un ami «avec qui elle avait eu une relation pendant plusieurs semaines», explique le procureur de Bergerac, Sylvie Martins Guedes, dans un communiqué de presse. «Ils avaient passé la soirée ensemble sur Trémolat avec des amis, puis rejoignaient le domicile de la victime, ce dernier ne l’a précédé que dix minutes, selon lui.» »

La victime a présenté plusieurs lésions, «y compris cinq profondes causées par un objet pointu». Les blessures ont témoigné «de violence particulière et leur emplacement a démontré la volonté de tuer. Huit blessures ont été notées par les médecins médico-légaux à l’autopsie, confirmant la violence des coups. Y compris« Deux blessures dans la droite sur la droite sur la droite (un coup pénétrant l’aorte et l’autre touche la colonne vertébrale), une plaie abdominale pour le rein droit et le tour du lombaire et le pillage de la durée droite et du lombaire et de la colonne vertébrale et de la plaie de la rein droit et du lombar traverser le membre partout. Une enquête sur Flagrance a été ouverte contre X du chef des homicides volontaires.

Où est l’enquête?

Dans le cadre de l’enquête actuelle sous la direction du détachement de l’agen de la section de recherche Bordeaux, des audiences ont été effectuées pour «retracer le temps de la victime» et «identifier son environnement familial et son environnement amical». L’ami de la victime qui l’a découvert a été brièvement placé en garde à vue, une mesure qui a été rapidement soulevée en l’absence d’éléments suspects contre lui.

Une femme de 69 ans de Trémolat, «de l’entourage du couple» a été à son tour placée mercredi en garde à vue. Cela a également été levé vendredi: «Après les contrôles autour de son emploi du temps». «Le travail d’enquête est concentré sur des personnes qui étaient susceptibles de les avoir après la victime ou le couple qu’elle a formé avec son amie, toutes deux très actives dans le tissu social et associatif local» indique le procureur de Bergerac, avant de préciser qu ‘«aucune hypothèse n’est exclue». Le centre d’instructions de Périgueux devrait être saisi «dans les prochains jours».

Qui est la victime?

La victime était une ressortissante anglaise, Karen Carter, âgée de 65 ans. Elle vivait à Dordogne depuis plusieurs années. Très active dans l’environnement associatif local, elle était également membre des «Queens de football», une équipe de football qui rassemble des femmes de plus de 50 ans et qui a récemment fait l’objet d’un rapport télévisé. Ses coéquipiers et amis ont exprimé la page Facebook de cette association de leur «émotion» et de leur «tristesse» et ont témoigné de la «bienveillance» de la victime sur la page Facebook.

Son mari, Alan Carter, qui est en Afrique du Sud, a exprimé la BBC du «choc» de la famille, qui a quatre enfants, et a assuré que sa femme était une «personne adorable». Elle «ne blesserait pas une mouche» et «tout le monde l’aimait», assure-t-il.

Karen Carter vivait à Trémolat depuis plus de dix ans, où elle a géré deux locations de vacances. Depuis le covide, «ma femme a passé plus de temps là-bas pour gérer les lodges», explique toujours son mari avec la BBC. Ce dernier dit qu’il a appris la mort de sa femme après un appel d’un cousin, qui aurait vu la nouvelle passer sur Facebook. «Personne ne m’avait contacté pour m’avoir averti.» »

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