Ce dimanche, le coup d’envoi de la huitième finale de la Coupe des champions entre Toulouse a été retardé de près d’une demi-heure, car un parachutiste censé apporter le ballon du match est resté accroché au toit du stade, avant que les pompiers ne viennent le sauver. Un revers qui a bien sûr eu une grande influence sur la préparation des principaux acteurs. Ils disent.
C’est Une scène surréaliste sur laquelle les spectateurs du stade Toulouse ont assisté dimancheQuelques minutes seulement avant le tour de la huitième de la Coupe des champions contre la vente, lorsque le parachutiste – censé apporter le ballon du match – s’est retrouvé accroché au toit de l’enceinte. C’est ainsi qu’il a été suspendu dans le vide pendant un certain temps, qui – en plus des craintes le concernant – a évidemment eu des répercussions sur la réunion. En effet, le coup de pied -off – initialement prévu à 16 h 15 – a été nécessairement retardé au dernier moment. Ceci, alors que les joueurs étaient prêts dans les vestiaires… «C’était deux minutes avant de sortirdit Pierre-Louis Barassi. Soudain, nous étions chauds, les gars ont commencé à crier dans le couloir. Ensuite, en fait, on nous a dit que quelqu’un avait été pendu sur le toit. Pendu? Nous n’avons pas nécessairement compris. Ensuite, nous avons vu la scène. “ Lui et ses coéquipiers, comme tout le monde, ont été surpris par la situation. “C’est toujours très rare”Notes Capitaine Julien Marchand. «Aujourd’hui, les moyens de communication nous dépassent parfois, Ajouter le manager ugo mola. Nous avons donc essayé de rassurer tout le monde et de ne pas être pris par cela. Mais il est vrai que nous avons passé une demi-heure à secouer par cette attente qui était encore très dérangeante. “
“Nous mettons de la musique dans les vestiaires”
Soudain, il était nécessaire de s’organiser en cas d’urgence dans les intestins du stade afin de ne pas être trop construit par le contexte. «Bien sûr, cela change un peu lorsque vous sortez du chaud et qu’après être rentré, puis vous revenez en arrièresouffle marchand. C’est toujours différent. Nous n’y sommes pas habitués, mais nous sommes dans un sport où nous devons toujours nous adapter. Là, les deux équipes se sont adaptées, nous n’avions pas le choix. “ Barassi confirme: «Nous étions confrontés à quelque chose qui ne s’est jamais produit. Le match a été déplacé une demi-heure. C’était un peu spécial, mais nous avons besoin d’une première pour faire quoi que ce soit. Nous mettons de la musique dans les vestiaires.» Dans ces moments, l’idée était également d’essayer de mettre en perspective, comme le proclame Mola: “Malheureusement, cela ne dépendait pas de nous. Je pense que nous nous sommes approchés d’une véritable catastrophe. Le rugby, dans ces cas, reste anecdotique et n’est plus vraiment le premier de nos préoccupations.”
“La personne est en bonne santé, c’est l’essentiel”
C’est pourquoi tous les acteurs ont commencé par se réjouir de la façon dont cette histoire s’est terminée, le capitaine Yannick, paratrooper du 3e régiment Muret, ayant été secouru par les pompiers. «Je suis ravi que cela se termine comme ça pour cet homme et ravi que le résultat soit positifcette mola. Mais il est vrai que cela a un peu dérangé tout le monde. ” Même histoire pour le marchand: “Déjà, la personne est en bonne santé, et tant mieux pour elles. C’est l’essentiel. De là, tout va bien.” Le sport a ensuite repris ses droits. «Nous avons essayé de ré-mobiliser rapidement avec un peu chaud de cotes et de finsSourit Barassi. Ici, nous avons dû avancer. “ Cela a-t-il eu une influence sur la première moitié mixte de Toulouse? «Nous ne pouvons pas être trop d’excuses à cela»dit Marchand. Et Barassi pour conclure: «Je veux dire oui, mais cela les a aussi dérangés. C’était la même préparation pour les deux équipes. Et puis, nous avons été les premiers à marquer…» De toute évidence, la conclusion était heureuse, pour le parachutiste comme pour le stade Toulouse.