Il a également loué les efforts du gouvernement et la volonté de Sa Majesté le roi Mohammed VI pour renforcer l’État social, soulignant que le Maroc est l’un des rares pays comparables à avoir un dialogue social institutionnalisé et productif aujourd’hui.
En outre, M. Mayara a rappelé les principales avancées obtenues dans le cadre du dialogue social, en particulier l’augmentation générale de 1000 DH NETS par mois des salaires des responsables du secteur public qui ne bénéficiaient pas d’une augmentation de salaire et d’une augmentation de 15% du salaire minimum minimum garanti (SMAG).
C’est également la réforme de l’impôt sur le revenu (IR), qui est entré en vigueur le 1er janvier 2025, ce qui a permis d’augmenter les revenus de plus de 400 dirhams pour toutes les catégories, en plus de la réduction du bénéfice du bénéfice de la pension de vieillesse de 3 240 à 1320 jours de souscription, et avec un effet rétroactif comprenant le assuré qui a laissé pour avoir été retiré le 1er janvier 1, 2023.
Pour sa part, le secrétaire général du Parti Istiqal, Nizar Baraka, a souligné les progrès réalisés ces dernières années grâce à une approche, une concerté et une responsabilité partagées basées sur l’écoute entre l’exécutif et l’Union Central.
Au niveau national, il a souligné la gestion proactive des crises successives, en particulier la sécheresse, soulignant les efforts faits pour garantir l’approvisionnement en eau.
M. Baraka a également détaillé les mesures prises par le gouvernement pour atténuer les effets de l’inflation sur les ménages, en soulignant le maintien des subventions aux nécessités de base, la réglementation des prix de l’électricité et l’adaptation de la fiscalité au profit des travailleurs.
En termes de pouvoir d’achat, M. Baraka a salué la baisse de l’impôt sur le revenu, de 45% à 37%, et l’exonération des salaires inférieurs à 6 000 dirhams. “Ce sont des décisions concrètes, qui ont permis un gain mensuel jusqu’à 900 dirhams pour certains fonctionnaires”, a-t-il conclu.