Alors que Donald Trump dit «Étudiez étroitement» action en justice contre New York TimesLes journalistes sans frontières (RSF) estiment que le retour au pouvoir du républicain a conduit à un «La dégradation perturbatrice de la liberté de la presse aux États-Unis». Le pays perd deux places, étant en 57e position sur 180, dans la classification annuelle par pays publié vendredi 2 mai par RSF.
“La situation n’était pas déjà brillante” Aux États-Unis, a rétrogradé dix places en 2024, a concédé à l’AFP le directeur éditorial de RSF, Anne Bocancé. Mais il a augmenté encore depuis l’inauguration en janvier du président américain, auteur de«Attaques quotidiennes» contre la presse. «Son administration a des institutions politisées, réduit le soutien aux médias indépendants et aux journalistes marginalisés»soumis à un «Hostilité croissante»Pendant que le “La confiance dans les médias s’effondrer”résume l’ONG.
Donald Trump a également initié le démantèlement des médias publics américains à l’étranger, comme Voix de l’Amériqueprivé «Plus de 400 millions de personnes» d’un «Accès à des informations fiables»Selon RSF. «Le gel des fonds d’aide internationale»via l’American USAID Development Agency, a également “Mattre des centaines de médias dans l’instabilité économique critique” et a forcé un peu “Lorsqu’il est fermé, surtout en Ukraine”. «La liberté de la presse n’est plus une réussite aux États-Unis»a également noté cette semaine le comité pour la protection des journalistes, dans un rapport sur les 100 premiers jours du deuxième mandat de Donald Trump.
En même temps, de «Vast Information Deserts» Créé aux États-Unis avec la disparition de nombreux titres locaux se proie à des difficultés financières. Ces «Pressions économiques»moins visible que les abus physiques contre les journalistes, constituent un «Hindrance majeure» À la liberté de la presse, insiste sur le RSF.
Ce “Affaiblissement L’économie constitue l’une des principales menaces pour faire pression sur la liberté » Dans le reste du monde, RSF Alert. La France a perdu quatre places par rapport à 2024 et est 25e dans une classification dominée par la Norvège, l’Estonie et les Pays-Bas. Plus généralement, l’économie du secteur est “Holding” par Gafam (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft), dont les plates-formes, “Largement non réglementé, capture une partie croissante des revenus publicitaires” et participer à «La prolifération du contenu manipulé ou trompeur».
La liberté d’informer est aussi «De plus en plus entravé par des conditions de financement opaques ou arbitraires», pointe RSF. Ainsi, en France (25e, -4), un “Une partie importante de la presse nationale est contrôlée par de grandes fortunes”note la ONG, se demandant sur «La véritable indépendance des éditoriaux». “Il y a dix grosses fortunes”y compris celui de Vincent Bolloré, “Qui partagent une vingtaine de titres de presse et cela représente 80% sur la diffusion des journaux quotidiens et 95% des ressortissants généralistes”Illustre Thibaud Brutin, secrétaire général de RSF, sur France Inter.