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Une élection présidentielle a suivi de près à Moscou, Washington, Bruxelles ou Kiev -.

Une élection présidentielle a suivi de près à Moscou, Washington, Bruxelles ou Kiev -.
Une élection présidentielle a suivi de près à Moscou, Washington, Bruxelles ou Kiev -.

Quelle serait en outre des relations de Roumanie avec les États-Unis en cas de victoire de George Simion? L’arrivée possible d’un admirateur de Donald Trump à la tête de cet État membre de l’UE pourrait compliquer la prise de décision européenne, le choix des répliques permanentes, en cas de fonctions de douane aux États-Unis. La Roumanie resterait-elle sur sa ligne proteuropienne?

L’administration Trump suit de près la situation roumaine et le commente. L’annulation du premier tour? L’inéligibilité de son candidat lointain? Un stylo connu de la liberté d’expression en Europe “Basé sur les faibles soupçons d’une agence de renseignement”avait jugé le vice-président JD Vance lors de son discours à Munich. «C’est fou«Dans un État de l’UE, a réagi sur X Elon Musk, le conseiller milliardaire du président Trump. Des mots pour faire pression sur les accents de l’allié américain.

Un allié très présent en Roumanie où 1 700 soldats américains sont exclus dans le cadre de l’OTAN. Et la Roumanie devrait bientôt héberger l’une des plus grandes bases aériennes de l’OTAN en Europe, Mihail-Kogalnice. Ensemble électoral pourrait avoir un impact sur ces déploiements de l’OTAN, sur le soutien des États-Unis à ces investissements ou sur le choix de la Roumanie pour rester à bord de l’alliance.

Mais contrairement à Calin Georgescu, George Simion le nouveau favori de cette élection, dit qu’il ne remet pas en question l’appartenance de son pays à l’OTAN: «Quitter l’OTAN serait la folie, cela ferait une grande menace pour nous. […] Pour ma part, je suis un fervent soutien de l’Atlantique Alliance, qui doit rester défensive » dit George Simion au journal Le Monde.

Les alliés de l’OTAN seront vigilants, étant donné la situation stratégique de la Roumanie et son rôle au sein de l’alliance.

Il s’agit donc d’une élection de problèmes majeurs, sous haute pression, mais aussi dans une certaine incertitude. Le grand nombre de indécis et les Roumains qui voteront (ou ne voteront pas) de l’étranger ajoutent une part d’inconnu aux élections.

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