Quel autre pays que Dubaï peut se permettre d’enregistrer des enchères aussi élevées pour une plaque d’immatriculation? Dans ce pays où la luxure et la très haute fin sont en ordre, la vente traditionnelle de la Roads and Transport Authority (RTA) a de nouveau été évoquée.
Un enregistrement toujours pas égalé
Deux chiffres et deux lettres étaient suffisants pour enflammer une pièce entière. «CC22» est l’écriture comme il est simple car il s’agit de la plaque d’immatriculation vendue à plus de 8 millions de dollars (un peu plus de 2 millions d’euros). Comme nous vous l’avons dit dans le chapôt de cet article, le symbolisme et la rareté sont à l’origine de ce prix exorbitant. Est-ce une justification valable? Nous vous laissons le juger, mais nous avons une petite idée… le pire dans tout cela est que cette vente n’est même pas le dossier d’une plaque d’immatriculation. En 2023, la plaque P7 a été vendue pour 55 millions de dirhams (environ 13,2 millions d’euros) et n’a jamais été égalée jusqu’à présent.
Une obsession pour les plaques d’immatriculation
Si vous ne le saviez pas, cette vente fait partie d’une tradition locale qui tient bien à l’extravagance du pays. À Dubaï, les plaques d’immatriculation sont devenues de véritables objets de collection. Ce sont bien plus que des outils d’identification simples: ils sont devenus des symboles de statut. Avoir des combinaisons de chiffres uniques ou rares signifie le prestige et la reconnaissance sociale, encourageant les acheteurs riches à dépenser d’énormes sommes pour des pièces spéciales. Les plaques de figures doubles ou triples sont particulièrement recherchées, car leur rareté les rend encore plus exclusives.
Une plaque d’immatriculation a vendu plus de 2 millions d’euros de panique les enchères
Lors d’une vente aux enchères à Dubaï, une plaque d’immatriculation a été acquise pour la somme de 8,33 millions de dirhams. Le symbolisme et la rareté sont à l’origine de ce prix exorbitant.