Avec le printemps, le désir de se sentir plus léger, en forme… et pourquoi pas, perdre quelques kilos accumulés pendant l’hiver. Si plusieurs dépendent de la nourriture ou de l’exercice pour initier ce tour, peu de temps réalise comment l’état de leur microbiote – ces milliards de bactéries qui peuplent notre intestin – peuvent faire toute la différence.
Un microbiote déséquilibré contribue à l’inflammation chronique, perturbe la digestion et influence la production d’hormones liées à l’appétit telles que la ghréline ou la leptine. Résultat: envies incontrôlées, digestion paresseuse et difficulté à perdre du poids, malgré tous les efforts.
Les probiotiques, ces micro-organismes bénéfiques présents dans certains aliments fermentés (tels que le kéfir, le miso, la choucroute ou le yaourt) ou sous forme de suppléments, permettent de restaurer l’équilibre intestinal. En réduisant l’inflammation et en favorisant une meilleure absorption des nutriments, ils aident également à régulariser la glycémie – ce qui limite les pics d’insuline responsables du stockage des graisses.
Mieux encore, un microbiote sain influence positivement l’humeur et l’énergie, ce qui peut encourager des modes de vie sains, plus faciles à garder à long terme.
À tout âge, mais surtout après 50 ans, soutenir votre flore intestinale est un mimassage, un bien-être et un actif de santé global. Ce printemps, au lieu de parier uniquement sur l’échelle, pourquoi ne pas commencer par nourrir vos bonnes bactéries?