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War commerciale | Trump «n’envisage pas» la rupture des tâches de douane -.

(Washington) Le président américain Donald Trump a déclaré lundi qu’il ne prévoyait pas une rupture dans la mise en place de nouvelles tâches de douane qui combinent les partenaires commerciaux des États-Unis et la panique.

Publié à 8h53 Mis à jour à 17h22

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Myriam Lemetayer avec Yann Schreiber à Paris Agence France-Press

«Nous n’envisageons pas cela» (pour suspendre le projet sur les droits de douane), a déclaré le chef de l’État de la Maison Blanche, ajoutant que «de nombreux pays [viennent] Négocier avec nous «Les accords qui» seront justes ».

Menace de nouveaux droits pour Pékin

Donald Trump a menacé lundi de gonfler davantage les tâches de douane américaines sur les produits chinois si Pékin se retirait à son offensive des douanes, tout en laissant la porte ouverte aux négociations avec d’autres pays.

«Si la Chine ne retire pas son augmentation de 34% (droits de douane sur les produits américains) […] D’ici demain, le 8 avril, les États-Unis imposeront des tâches de douane supplémentaires de 50% sur la Chine, à partir du 9 avril », a déclaré le président américain sur sa plate-forme sociale sociale.

Capture d’écran du compte de vérité sociale de Donald Trump

Donald Trump avait reproché la Chine un peu plus tôt «à ne pas avoir pris en compte [son] avertissement […] ne pas répondre ».

Depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, Donald Trump a déjà frappé les produits chinois avec un supplément de 20%. Il doit passer à 54% à partir du 9 avril, les +34% annoncés la semaine dernière.

S’il entre dans sa dernière menace, cela apportera la surtaxe à 104% exorbitante, suffisamment pour doubler le prix des produits chinois à l’entrée sur le sol américain.

La Chine a rétorqué, grâce à son ambassade à Washington, qu’elle ne céderait pas aux pressions et aux menaces.

«Accords équitables»

Donald Trump dit que le premier monde du monde est «pillé» par le reste du monde.

Par conséquent, il a décidé d’imposer un taux supplémentaire de 10% à tous les produits importés aux États-Unis, qui sont entrés en vigueur samedi à quelques exceptions telles que l’or et l’énergie.

Ce taux devrait être noté mercredi pour plusieurs dizaines de grands partenaires commerciaux, dont l’Union européenne (+20%) et le Vietnam (+46%).

Les partenaires commerciaux des États-Unis cherchent à convaincre Donald Trump d’alléger ce fardeau, qui brise les marchés et dérange déjà le commerce mondial.

Donald Trump a de nouveau fait exploser chaud et froid lundi.

Il a dit qu’il ne voulait plus parler aux responsables chinois, mais a dit qu’il était prêt à négocier des «accords équitables» avec d’autres pays.

Le premier leader étranger a reçu à la Maison Blanche par le président américain depuis les annonces de la semaine dernière, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu a promis d’éliminer les tâches de douane et l’excédent commercial de son pays vis-à-vis des États-Unis.

L’Union européenne (UE), pour sa part, a proposé à Washington de supprimer les tâches de douane des deux côtés de l’Atlantique sur des produits de l’industrie, tels que les voitures et les drogues.

C’est une question pour les vingt-sept de sortir avec le moins de dégâts possibles de la guerre commerciale initiée par les États-Unis. Mais Donald Trump a déjà essayé cette offre «pas suffisante».

Une entrevue téléphonique a également eu lieu entre le Premier ministre japonais, Shigeru Ishiba, et Donald Trump, ont rapporté les deux responsables, faisant savoir que les discussions allaient se poursuivre.

Au Bangladesh, le chef provisoire du gouvernement Muhammad Yunus a écrit au président américain pour lui demander une période de «trois mois» afin d’avoir le temps d’acheter plus de produits américains pour rééquilibrer le commerce.

Photo Nicolas Tucat, agence France-Press

Cette photographie prise le 7 avril 2025 montre les indices boursiers mondiaux affichés sur un écran à Bruxelles, tandis que les courtiers ont réagi aux tâches douaniers imposées par le président américain Donald Trump.

Les acheteurs américains ont commencé à suspendre leurs commandes dans le pays, le deuxième fabricant de vêtements dans le monde, ciblé par 49% de droits de douane supplémentaires.

“Fou”

Les bourses asiatiques, en partie fermées vendredi, ont eu un lundi noir. Hong Kong s’est effondré de plus de 13% – sa pire session depuis 1997 – et l’indice Nikkei à Tokyo a chuté de 7,8%.

Dans une maison de courtage dans le district financier de Hong Kong, où les investisseurs individuels affluent, un nonagénaire nommé Tam «déteste» Trump.

«Cela m’a coûté 200 000 $ à Hong Kong (environ 35 000 dollars canadiens)», a-t-elle insurgée avant l’AFP. «Il est fou, il dit une chose et change d’avis quelques minutes plus tard… comment quelqu’un qui occupe une position aussi élevée agissant de cette façon?» »»

Les bourses européennes ont terminé fortement (-4,78% à Paris, -4,64% à Londres). À Wall Street, la session a été marquée par une grande fièvre, sans les indices pour s’effondrer.

Les analystes s’attendent à voir les économies fortement présenter dans la guerre des équipements qui peuvent entraîner des prix plus élevés, plus de chômage et moins de croissance.

Les États-Unis, qui doivent devenir «plus riches que jamais» selon Donald Trump, pourraient tomber dans la récession, selon les analystes de JPMorgan. D’autres entreprises ont également dégradé leurs prévisions pour la principale économie mondiale.

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