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Ramuncho (le Bigdil) confie dans son départ du jeu, un an avant son arrêt sur TF1 -.

Ramuncho (le Bigdil) confie dans son départ du jeu, un an avant son arrêt sur TF1 -.
Ramuncho (le Bigdil) confie dans son départ du jeu, un an avant son arrêt sur TF1 -.

Il n’a pas changé. Ou si peu. Au plaisir des fans de Bigdil De TF1, Hervé Budin, 65 ans, alias Ramuncho, a accepté d’incarner à nouveau sa blague et son personnage de gaffeur sur RMC Story, mais seulement pour une soirée, à la demande de Vincent Lagaf pour les années 90 de ce vendredi 2 mai. Un rôle qu’il a repris avec cupidité, mais émotion, après l’avoir incarné pendant cinq ans à la télévision entre 1998 et 2003.

Je skiais quand on m’a demandé de venir«: Ramuncho se souvient de sa première apparition dans Le bigdil

Télé-Loisirs: Comment aviez-vous été recruté depuis Le bigdil Au moment de TF1?
Nous avions le même producteur avec Vincent Lagaf, Hervé Hubert. J’avais un spectacle One Man à l’époque, un spectacle de personnages et parmi ceux-ci, j’ai incarné Ramuncho. Hervé Hubert a découvert que cela resterait bien dans la série.

Vous vous souvenez de votre premier spectacle de Bigdil ?
Assez ! Je n’étais pas programmé ce jour-là parce que je skiais mais on m’a demandé de venir et c’est vraiment arrivé au pied élevé avec stress et excitation. Il y avait tout le personnel de TF1 sur le plateau. En fin de compte, Gérard Louvin est venu me voir pour dire que c’était fabuleux et que mon personnage était parfait. Et après, je suis retourné au ski et je skie encore mieux qu’avant de partir! (rires)

Êtes-vous vraiment un musicien à l’origine?
Musicien amateur, oui. Moi, en gros, je suis un toubib, j’ai un diplôme de médecin et j’ai toujours fait de la musique. Cela aurait pu être une troisième vie parce que je l’ai toujours aimé, j’avais une clarinette, une trompette et j’étais multi-instrumentiste en Le bigdil Parce que c’était drôle de ne pas arriver tout le temps avec le même instrument.

Nous parlions de vos études médicales. Avez-vous eu l’occasion d’exercer cette profession?
Bien sûr. J’ai toujours fait des services d’urgence dans les hôpitaux et à un moment donné, J’ai pris une année sabbatique pour commencer sur scène Parce que j’avais aussi vraiment ça dans le sang. Quand j’ai commencé en tant que stagiaire, j’étais à la fois la journée à l’hôpital et le soir sur les planches, mais j’ai rapidement réalisé qu’il n’était plus possible de faire les deux. C’était au milieu de l’excitation du théâtre du café et cela a fonctionné tout de suite. J’ai donc mis ma carrière médicale entre parenthèses pendant quelques années. Ensuite, j’étais auteur pour la matinée de NRJ, pour les émissions de télévision…

Que Ramuncho a fait après son départ de Bigdil ? “JJ’ai aidé ma femme pendant cinq ans “

Tu as arrêté Le bigdil En 2003, un an avant sa suppression sur TF1. Pour quelle raison?
C’était une décision de ma part parce que j’avais fait le tour de mon personnage après cinq ans et je voulais sortir du temps pour faire autre chose, en particulier l’écriture. Cela a été fait naturellement. Après, en 2008, J’ai aidé ma femme pendant cinq ans dans sa pharmacie. Je suis pratiqué là-bas en tant que médecin tout en poursuivant mes activités artistiques, comme la publication d’un livre (L’homme aux pieds nusPublié en 2017, note de l’éditeur). Lorsque vous avez ce côté artistique dans le sang, il est difficile de l’abandonner! Même aujourd’hui, j’écris toujours.

Que fais-tu en ce moment?
En ce moment, je suis dans la peinture à l’huile, je peins mais c’est en plus d’écrire, ce qui est nécessaire pour moi.

Avez-vous eu du mal à revenir à la place de Ramuncho Pour les années 90 ?
Non, je l’ai fait instantanément. Vincent a été surpris parce qu’il a trouvé les mêmes expressions faciales à la maison qu’il y a 27 ans.

Nous nous sommes retrouvés dans une machine de voyage dans le temps«: Ramuncho est très ému par son retour dans Le bigdil sur une histoire de rmc

Nous nous sentons très ému à la fin de votre service…
Oui, il y a eu beaucoup d’émotions. C’était aussi le fait de trouver des personnes du personnel technique que je n’avais pas vu depuis des années. Nous nous sommes retrouvés dans une machine de voyage dans le temps.

Vincent Lagaf confié à Télé-Loisirs Vous voulez recruter votre fils pianiste pour de futurs tests aveugles de Bigdil. Cela devrait-il être ravi?
Oui ! Mon fils romain a 31 ans et c’est un grand musicien. Vincent l’a contacté et il le relie bien. Ce serait drôle que la boucle soit terminée comme ça.

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