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Joël Té-un-lesia Assoko secoue les mythes économiques africains avec un nouveau test -.

Joël Té-un-lesia Assoko secoue les mythes économiques africains avec un nouveau test -.
Joël Té-un-lesia Assoko secoue les mythes économiques africains avec un nouveau test -.

Dans un livre aussi dur et éruption, Joël Té-Un-Unsia Assoko, journaliste économique, remet en question l’héritage de Thomas Sankara et d’autres penseurs africains, estimant qu’ils transmettent des mythes économiques nuisibles au développement du continent. Intitulé «Entrer Sankara, Testing on African Economies», cet opus, le premier de la collection «Nugget Yellow» publié par Riveneuve, suscite déjà la controverse, selon le South Daily Site.

Bien que l’auteur précise sur la couverture arrière que son essai n’est pas une brochure, il n’hésite pas à remettre en question les politiques économiques du célèbre révolutionnaire de Burkinabè, Thomas Sankara. En utilisant des données cryptées, Assoko revisite les stratégies économiques et les choix parfois contradictoires du capitaine de Burkinabè, selon seulement quatre ans. Sankara est décrite comme un mythe des «hérésies économiques», bien que ses initiatives de santé et d’éducation soient reconnues comme innovantes. En ce qui concerne l’auteur, SUD Quotidien rapporte que l’installation de l’idée de «révolution» de Sankara est un cul-de-sac, selon Assoko.

Joël Té-Unsenia Assoko élargit sa critique à d’autres intellectuels africains influents, tels que Kako Nubukpo, Felwine Sarr, Achille Mbembe et Célestin Monga. Il les critique pour la promotion d’idées qu’il considère comme des utopistes et de promouvoir une tendance à «se heurter». Selon le South Daily Site, Assoko dit: «Lorsque nous mettons en évidence de nouvelles façons de penser les humains, en pensant à l’économie, je mens à l’Afrique et à vous-même.» »

Ce livre est publié tandis que l’influence de Sankara connaît un renouveau, avec des personnalités telles que le président sénégalais Bassirou Diomaye et le Premier ministre Ousmane Sonko, ainsi que diverses junta militaires du Sahel, qui préconisent la fin de la dépendance à l’ouest et apprécient le souverain économique. Cependant, l’auteur regrette que ces régimes se concentrent sur l’émancipation politique en négligeant des questions économiques technologiques cruciales.

En conclusion, dans une analyse relayée par nos collègues de South Daily, Assoko souligne que l’émergence africaine dépend surtout d’une amélioration significative et continue de la productivité. Ce livre de 151 pages pourrait bien secouer les convictions établies concernant le développement économique du continent.

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