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Un rapport confirme la présence de restes humains sur le site de l’ancien Royal Victoria -.

Un rapport confirme la présence de restes humains sur le site de l’ancien Royal Victoria -.
Un rapport confirme la présence de restes humains sur le site de l’ancien Royal Victoria -.

La société d’archéologie mandatée par la Québec Infrastructure Society (SQI), l’Université McGill et les Mothers Mohawks pour mener des recherches sur le terrain de l’ancien hôpital Royal Victoria de Montréal, confirme la présence de restes humains sur le site.

Dans un rapport obtenu par des espaces indigènes, Askîhk Research Services explique que les résultats combinés de trois tests effectués dans une zone du champ Confirmer la présence de restes humains.

Cette découverte, annoncée mercredi par les mères Mohawk (Kanienʼkehá: Ka Kahnistesera), est le dernier développement d’une saga judiciaire qui dure depuis près d’une décennie.

Le Kahnistesera, un groupe d’anciens de Kahnawà: KE, essayez de freiner les travaux effectués par McGill et le SQI Sur le site de l’ancien hôpital et de l’ancien institut Mémorial d’Allan. Ils soupçonnent la présence de sépultures anonymes d’enfants autochtones et d’autres patients décédés lors des expériences psychiatriques réalisées entre 1954 et 1963 dans le cadre du projet CIA MK-UTRA.

Ils surveillera le site pour s’assurer qu’il n’est pas détruit tant que la zone n’est pas sécurisée pour une enquête appropriéeDit par communiqué de presse, l’une des mères Mohawks, Kahentinetha.

Les archéologues expliquent dans leur rapport que les chiens spécialisés ont détecté la présence de restes humains sur le site en question. Les tests effectués par un radar de pénétration du sol ont déclaré qu’il y avait un potentiel mineur qu’il y a des restes là-bas. Une sonde analysant la composition et le compactage du sol a confirmé qu’il y avait un potentiel élevé.

Les tests effectués par un radar de pénétration du sol ont déclaré qu’il y avait un «potentiel mineur». (Photo des archives)

Photo: Radio-Canada / Delphine Jung

Ces résultats ne concernent qu’une seule zone et les enquêtes doivent encore être effectuées dans de nombreux autres domainesa expliqué le Kahnistesera.

Compte tenu des méthodes utilisées et comme il n’y a pas d’exhumation, le rapport ne contient pas d’informations supplémentaires sur les restes eux-mêmes, surtout s’ils sont une ou plusieurs personnes. Il n’y a pas non plus aucune information sur l’âge de la (s) personne (s) enterrée (s) ou son origine ethnique.

Nous avons signalé cette découverte chez le coroner, Me Géhane Kamel, demandant à son bureau de travailler avec des experts de Mohawks pour enquêter sur les preuvesAjouté à la fin de la journée, un porte-parole du Kahnistesera.

Le rôle du panel

En octobre 2022, les mères Mohawks avaient obtenu une injonction de la Cour supérieure du Québec, afin de mettre fin aux travaux jusqu’à l’adoption d’un plan archéologique par les trois parties.

Ils ont convenu en avril 2023 afin que des fouilles puissent avoir lieu, en vertu des conseils techniques d’un panel de trois archéologues, appuyé par un archéologue Mohawk.

Les découvertes annoncées mercredi découlent de cet accord et la recherche a été menée en fonction des conseils du comité, il est indiqué dans le rapport.

Mais depuis la mise en œuvre de ce panel, son rôle n’a pas été un consensus. Après avoir soumis un rapport en juillet 2023 spécifiant les techniques à favoriser et les domaines à inspecter, le SQI Et l’Université McGill a considéré que son mandat était terminé.

Au lieu d’écouter les recommandations des archéologues, McGill et le SQI décidé de les rejeterConsidérez plutôt Kahentinetha. Les mères Mohawks ont contesté cette décision devant les tribunaux jusqu’à ce que la Cour suprême rejette leur appel, confirmant que le comité ne pouvait pas recommencer ses activités.

Si une découverte est faite pendant le travail, le SQI Et McGill doit à nouveau recourir à la supervision de ce panel.

Depuis le lancement des travaux du nouveau projet Vic de McGill, dont aucun reste enterré humain ou anonyme n’a été trouvéa déclaré l’Université McGill par e-mail.

La Québec Infrastructure Society, il a dit queÀ ce jour, rien ne confirme la présence des sépultures, malgré les recherches effectuées dans toutes les zones d’intérêt identifiées.

Le conseiller en communication contacté par des zones autochtones n’a pas pu confirmer avant la publication de cet article si le SQI avait lu les révélations faites par le rapport, datées de février 2025.

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